Hit or Miss

Désir inassouvi

J'eu du mal à m'endormir après ça. Je la sentais m'observer jusqu'au moment où mes yeux se fermèrent sans mon accord. Mais, même mes yeux fermés je pouvais sentir la présence des siens mixant mon corps. Sachant qu'elle ne me laisse pas du regard, je commençais à casserai mes lèvres avec mon pouce, puis j'y entrais chacun de mes doigts un par un pour qu'il soit tout un minimum humide. Je ressentais de mon coter gauche une tension qui m'excitait encore plus que lorsque je suis éveillée. Ma main gauche commença à se glisser sous mon t-shirt, pour efflorer mes seins. Mon autre main descendait bien plus bas jusqu'à ce que je l'insert dans ma culotte. Les caresses fusèrent, je me perdais seule face à elle, jusqu'à ce que l'orgasme fût à l'a proche...mon souffle était saccadé, mon corps commençais à se recourber. Mais mon orgasme m'a était enlever par un violent kidnapping de mes mains atterrissant au-dessus de ma tête. Elle était assise sur mon bassin de façon à enlever plus rapidement tout plaisirs que j'ai pu me donner.

-Arrête ! fit elle essoufflée par le désirer que je lui procurais.

Essayant de me débattre, traumatiser par mon désir inassouvi.

-Stop, si tu continues je resterai comme ça toute la nuit ! encore essoufflée.

-Donne-toi à moi...encore dans ma frustration.

-Je ne peux pas...t'es mineur...je ne peux pas Ève !

-L'amour n'a pas d'âge Eugénie ! plus sérieusement.

-Non je ne peux pas, t'as 16 ans...tu es mineur.

-Et toi t'as 20-22 ans peut-être, et alors ?

-Et alors ! Je te rappelle que je suis ta prof ! Ève ! en versant une larme qu'elle retira aussi vite qu'elle le peut.

-Viens ! en lui essuyant les prochaines.

Je lui fis une place dans mon lit, je lui lassai un baiser un le front puis nous nous endormons chacune coller à l'autre. À mon réveil elle n'était plus dans la chambre. Supposant qu'elle ne voulait pas que des rumeurs se créer. Une fois préparer avec les vêtements de la veille qui avaient séché sur le radiateur, je me dirigeais dans le self beaucoup plus bruyant que la veille et m'installa à une table seule, vu que je me suis disputé avec une bonne partie de mes amis. Mon déjeuner fut vite expédié. Arrivant devant la salle de classe, Maxence était là, les yeux gonfler et rouge, de par les larmes qui ont dû couler toute la nuit. Prenant mon courage à deux mains, je pris la parole :

-Max...Maxence je peux tout t'expliquer, laisse-moi t'expliquer....

-J'en étais sûr tu as un truc à cacher, en voulant t'expliquer à moi, et en bégayant tu te grilles toute seule. Dit-il avec mépris.

Maxence était un garçon du peu que je le connaissais très observateur surtout dans les comportements humains.

-Ne me fait pas ta psychologie Maxence ! Je ne suis pas comme tout le monde et tu le sais alors ton analyse de comportement tu peux te la mettre où je pense ! Furieuse

-BONJOUR ! dit notre prof de français

Ces prochains jours promettent d'être difficile socialement.