juillet
tremblait
devant
le froid
des saisons
l'effroi
de la prison
ressemblait
aux bruissements
des buissonsjuillet
était
la nature
(même si
certain
disent que
je suis
contre nature)
elle
virevoltait
à travers
les nuages
tout en
percutant
le cœur
égaré
d'agales
pas
de juillet
s'enfonçaient
dans la
douceur
de l'été
les fleurs
livraient
leurs poèmes
à son
passageaga
regardait
les maux de
juillet
s'échapper
de son
esprit
divaguant
dans une
tempête
roseaga
savait ;
juillet
était
une
délicate
pivoine
desséchée
qui avait
peur
de la fin
de l'été
VOUS LISEZ
aga et les fleurs de juillet
Poetryjuillet est couverte de fleurs des fleurs plastiques dont fane le cœur | juillet deux mille vingt |