Chapitre 10 - Pré-au-Lard

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Ma chérie, si tu lis cette lettre, c'est que tu as réussi à ouvrir le médaillon et que Voldemort a failli t'enlever. Ce sera plus clair à la fin de la lettre. Je sais que c'était compliqué mais toi seule devait ouvrir ce médaillon. Je m'adresse à toi en pensant que tu me lis en tant qu'adolescente car seule une adolescente peut comprendre. C'est un peu compliqué mais je n'y pu rien. Tu dois comprendre que nous t'avons abandonnée pour une raison. Le seigneur des ténèbres te cherche. Tu l'as peut-être remarqué, mais tu as un don très puissant de divination. Je sais que tu as grandi parmi les moldus et je suis désolée que tu apprennes que tu es une sorcière. Tu as dû avoir un choc... Je m'en veut terriblement...
Nous t'avons abandonnée car le seigneur des ténèbres nous a attaqués. Tu étais trop précieuse pour que le seigneur des ténèbres te prenne alors je t'ai amené devant un orphelinat. J'espère que tu as trouvé une famille qui t'aime. Je ne peux pas te dire qui je suis parce que je ne sais pas quand tu liras cette lettre, et si tu la lis. Je ne peux pas non plus te le dire car je ne sais pas si le seigneur des ténèbres te cherches toujours ou si tu es déjà avec lui. Mais j'ai bon espoir que non.
Je peux par contre te dire quelques choses. Tu as un frère jumeau. Je pense qu'il ne se rappellera plus de toi car le seigneur des ténèbres a essayé de t'enlever lorsque tu avais un an. Le médaillon est un cadeau que nous t'avons fait, ton père et moi. Je comptais te le donner lorsque tu aurais 16 ans. Les deux phrases sont mes préférées. Encore une dernière chose, je ne sais pas si on savait que tu avais un an à l'orphelinat quand je t'ai amené mais tu avais tout juste un an. Je ne peux t'en dire plus.
En ce moment, ton père retient Voldemort pour qu'il ne te tue pas. Si jamais Voldemort bat ton père, je glisserai cette lettre dans le médaillon que je te donnerai. Mais peut-être que je parle dans le vide depuis toute à l'heure. Mais Voldemort est puissant alors il faut s'attendre à toutes les possibilités.
Je t'aime ma chérie, ainsi que ton père et ton frère, ne l'oublie jamais.

Cela faisait plusieurs jours que j'avais lu cette lettre. Harry n'avait pas voulu la voir, en disant que c'était personnel. Heureusement que grâce à ma vision, je sais que mon père n'est pas mort. Je me demande d'ailleurs s'ils sont toujours en vie. Peut-être que Voldemort les as trouvés et a forcé ma mère à lui dire où j'étais... Je n'espère pas. J'espère que Voldemort ne les as pas trouvés. Mais, comme disait pas mère, il faut croire en mes rêves. J'espère vraiment les revoir quand Voldemort sera vaincu... Et j'ai un frère! Alors toute la semaine, je sautais comme une puce. Lily m'avait demandé :

- Pourquoi tu sautilles comme une puce ? Tu as été contente toute la semaine !

- Je vais te le dire car je ne pourrais pas te le cacher mais ne le dit à personne !

- Mais bien sûr, je ne suis pas ta meilleure amie pour rien.

- Très bien.

Et je lui racontais que j'avais eu une vision de mes vrais parents et je lui ai parlé de la lettre.

- Oh Skye je suis si contente pour toi !

Et elle me serra dans ses bras.

- Merci.

- Ce week-end on va acheter nos robes d'accord ?

- Mais bien sûr !

Et nous voici donc le week-end pour acheter nos robes.

- Celle-ci ?

Lily avait une robe blanche.

- C'est trop blanc... Ça ne te va pas.

- D'accord. Je continue.

Et elle trouva enfin la robe parfaite. Comment est-elle ? Il faut attendre le bal pour le savoir !

Je trouvai moi aussi une robe.

Sirius nous avait présenté sa petite amie et ça semblait durer plus longtemps que n'importe quelle fille.

J'espère qu'il changera de comportement de coureur de jupons... Peut-être que cette fille est la bonne... D'ailleurs, elle s'appelle Marie.

Pendant, la semaine, j'avais envoyé une lettre à mes parents pour leur dire que j'avais des informations sur mes vrais parents mais que je ne quitterai cette famille pour rien au monde. Ils étaient contents pour moi.

Lily me demanda :

- Dit Skye, je sais que Harry n'a pas de famille dans le coin alors je me demandais si je pouvais l'inviter à passer les vacances chez moi. En tant qu'amis bien sûr. Je n'ai pas envie qu'il reste seul...

- Euh... Oui tu peux. Mais pourquoi tu me demandes à moi ?

- Et bien... Tu aurais peut-être eu envie de lui demander.

- Mais non ! Tu peux. Je te donne ma permission. Je suis sûre qu'il sera ravi de venir chez toi.

- OK. Parce qu'avec Harry, je m'entends bien.

- Et bien j'ai une idée, dès qu'on rentre, tu lui demande. Ça te va ?

- Super !

Et c'est ce qu'on fit. On croisa Harry puis je lui demandai discrètement de venir dans la salle sur demande. Il arriva.

- Alors c'est là que vous prenez des cours particuliers... Constata Lily.

- Et oui, dit Harry. Tu voulais me dire quoi ?

- Et bien... Je sais que tu es tout seul pendant les vacances et je voudrais que tu viennes chez moi.

- Quoi ? Vraiment ? Mais c'est super sympa !

- Par contre, en tant qu'amis. Avec le bal, je ne veux pas que tu te fasses de faux espoirs.

- Tu sais Lily, je t'ai toujours considérée comme une soeur.

- Ouf ! Ça me rassure.

- Et moi donc ! Je vais vous laisser, les Serpentards doivent se demander où je suis. À plus tard les filles.

- À plus tard ! Disions-nous.

- Et voilà ! C'était pas si compliqué !

- Tu as raison Skye.

Les jours passèrent, le bal approchait. Tout le monde était impatient à l'idée de faire un bal. J'étais toujours distante avec les maraudeurs. Surtout avec Rémus et Peter.

Le jour du bal arriva enfin.

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Tin tin tiiiiiiiiiiinnnn !

Chapitre assez court mais le prochain chapitre doit commencer par le bal ! Alors voilà !

À très bientôt pour un bal !

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MEMORIES : Harry Potter à Poudlard, en 1976 [TERMINÉE]حيث تعيش القصص. اكتشف الآن