chapitre 1: le test

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La sonnerie de sept heure retenti, je me levais et enfilais un jean jaune et un t-shirt assortie en songeant que c'était la dernière fois  que je portais cette couleur, j'était toute excitée, c'était le jour du test (comme chaque année) mais aujourd'hui c'était mon jour de test, surement le jour le plus important de toute ma vie. C'était aujourd'hui que mon avenir ce décidait ce test pouvait m'assurer la vie de mes rêves ou une misérable existence.

 Je me rendait au réfectoire et prenait un plateaux puis allais m'installer à côté de mon meilleur ami Amos, salut Aby, me lança t-il, salut! lui répondit-je, m'étranglant avec mon poridge. Pas trop stresser Ab? me lança t-il a nouveau, Ca va le rassuré-je avec un sourire forcé. J'était plus que stressée, je bouillonnais d'émotion contradictoire et mon sang cognais contre mes tempes. La sonnerie de sept heure trente retentie et tout les jaunes se levèrent spontanément et se dirigèrent en file indienne vers la sortie en déposant leur plateau en passant. On se rendait tous devant l'école et on attendait l'arrivée de nos professeurs, ce fut Mme Jorriise qui sortie la première, et se dressant sur l'estrade entonna son annuel discourt " chers et chères élèves de Flophlembant  comme vous le savaient tous, aujourd'hui et un jours spécial, aujourd'hui va se déroulé le test, que tout les A s'avance et se dirigent vers M.Crisfloy et mlle.Odoresse." Je me levais avec les autre et tentais tant bien que mal de dissimuler mes mains tremblantes dans les poches de mon jean. J'était dans le groupe de Mlle. Odoresse avec Athia, mais Amos se retrouva avec M.Crisfloy et me lança un regard désespéré, je lui fit un bref signe de la main et suivit les autres le plus vite possible.

 On entra dans le bâtiment réservé au candidat du test et on suivit mlle.Odoresse jusqu'à une salle cadrée de chaises bleus, je m'assis et attendis l'appel de mon nom  pendant ce qui me sembla durer des heures, puis quelqu'un me frappa doucement le bras, c'était Athia, ils on appeler ton nom aby, murmura-t-elle. Je me levait brusquement faisant tomber ma chaise, m'attirant les regards et commentaires des autres A, et je suivit un jeune femme en uniforme rouge qui semblait ne pas avoir envie d'être là, venez me dit elle d'un ton ferme mais poli. Je la suivis dans un couloir qui bifurqué dans tout les sens, je n'aurait jamais pu retrouver mon chemin toute seule pensai-je, et après réflexion si c'était justement ça le but? mais qu'avait ce test de si spécial pour que l'on le fasse passer au bout d 'innombrables couloirs tordus ? Après au moins cinq bonnes minutes j'arrivais devant un porte massive en acier bleuté agrémenter d'une grosse serrure dans laquelle la rouge glissa une petite clé, je pénétrais dans une salle éclairée d'une lumière si forte que je dus cligner des yeux, la pièce était déserte a l'exception d'une petite table bleu qui trônait au beau milieu de l'endroit.

 Dans un coin je remarquais la présence d'une femme d'un trentaine d'année qui me regardait froidement et me fit signe d'avancer jusqu'à la table, quand je voulu m'assoir je remarquais l'absence de chaise, la femme se tourna vers moi et me tendis une tablette puis elle s'approcha du mur appuya sur un bouton que je n'avais pas vue et le mur se changea en une sorte d'écran 3D. Elle s'adressa enfin à moi, bon c'est très simple okay, il te suffi d'appuyer sur la case correspondant à la solution qui te semble le plus juste parmi celles qui s'afficheront sur la tablette en rapport avec la situation sur l'écran. compris? elle parlait rapidement, d'un ton sec et je m'empressais d'acquiescer, très bien, je vais te laisser faire. Attendait, criai-je mais elle se dirigée déjà vers un petite porte que je n'avais pas non plus remarqué et me laissa seule dans la pièce. 

Après quelque seconde de silence troublant l'écran produisit un drôle de bruit et s'alluma brusquement, de brèves instructions s'affichèrent puis disparurent tout aussi rapidement, d'un coup je me trouvais dans la rue en face d'une fillette en pleure, surprise je restais figé avant de me rappeler de la tablette sur laquelle on voyais a présent des proposition briller, je devais répondre instinctivement mais me mis a réfléchir de plus en plus rapidement, enchainer des pirouette afin de l'émerveiller, bof je n'était pas assez douée, lui chanté une comptine, non mieux vos pas, lui bricolé une poupée en deux temps trois mouvement, le bricolage ça n'était pas mon truc, alors après une brève hésitation mon dévolu se jeta sur la dernière proposition, lui remonter le moral par un simple câlin, l'écran changea et je me retrouve face a un homme tenant un couteau et le pointant vers un jeune garçon âgé d'une dizaine d'années, sa terreur se lisait dans ces yeux, j'hoquetais devant cet horrible spectacle, mon regard glissa sur la tablette et zigzagua entre les diverses solutions, je me rendit compte que ma bonté n'était aussi grande que je m'efforçais de le croire et que la case proposant de me sacrifier pour l'enfant ne me parus pas envisageable, la case suivante proposais de combattre l'ennemie mais je préféré encore fuir! j'optais pour la dernière qui proposais de rusé afin de déconcentré l'agresseur, et mon doigts s'arrêta sur celle-ci.

 L'écran devint a nouveau noir puis une nouvelle situation se proposa, je remarquai tout de suite un changement, un chronomètre se trouvais en haut de l'image, je le fixais quelque seconde puis baissais mon regard vers la situation, cette fois une femme se tenais face a moi, un pistolet braqué devant elle, je cru qu'elle me menaçais avant de remarquer la présence d'Athia a côté de moi, et c'étais vers elle que l'arme était dirigé, je baissai les yeux sur la tablette et vit seulement de  proposition, TOI, ELLE , mon coeur s'arrêta, je ne voulais pas mourir, mais je ne voulais pas laisser mourir Athia, des larmes roulèrent sur mes joues tendis que je contemplais l'image puis le chronomètre ce mis a biper d'une façon insupportable, mon doigts cliqua sur une des bulle dorée tendis que je redirigé mon regard vers l'écran et la femme tira, Athia s'effondra transpercée pas la balle du revolver et je détournais les yeux.

L'épreuve suivante s'afficha, je crus ressentir la présence de quelque chose de lourd dans ma main et  baissant les bras je vis que c'était un pistolet, mon coeur fit un bond, je me retournais et vis un homme armée lui aussi : Tue là, Tue là répéta il plus fort je me retournais à nouveau et se que je vis manqua de m'arracher un gémissement, cette fois ce n'étais plus athia mais Mme jorriise qui se tenais devant moi, horrifiée, Non Abygea ne l'écoute pas me dit-elle doucement, la voix de l'homme resonna a nouveau de plus en plus fort: tue là, tue là Tue Là, je tremblais, TUE LA !! hurla t-il , je secouai la tête dans tout les sens, non, non ,non je pleurais à chaudes larmes, TUE LA crié t-il, mon poignet me faisait mal TUE LA hurla t-il encore, mes yeux s' embuèrent et mon doigt pressa la détente éjectant la bal qui s'enfonça dans le front de la directrice, elle s'effondra et tacha le sol d'un liquide sombre. Un cris étranglé sorti de ma bouche et je senti la nausée monter j'eu a peine le temps de me détourner et mon déjeuner atterris par terre, je me mis à vomir une dizaine de fois, ma gorge me brulais, je m'essuyais la bouche et n'attendant pas la fin du test, je me précipitais vers la porte et m'enfuit a toutes jambes.

 Je couru sans vraiment savoir où j'allais, enfin j'entendis des voix, je me crus sauvée et une étincelle d'espoir refit surface dans mon esprit, bientôt un bruit de pas accompagna celui des voix : le sujet 17 c'est enfuit de la salle avant la fin du test ! un seconde voix répondit a la première: on va avoir des ennuis, pourquoi n'a tu pas verrouillé la porte ?! Je n' en ai jamais eu besoin, personne n'ait jamais sorti de cette salle sans avoir était réinstruit, répondit la première voix que je reconnu comme celle de la femme de toute a l'heure, une troisième voix intervint, oui peut être, mais là c'est arrivé et maintenant toute la stabilité de cette ville est en danger! j'entendis les pas se rapprocher et je me cacher dans l'ombre, les trois silhouettes passèrent  devant moi et je retint mon souffle, dans la pénombre je ne réussi pas a distinguer parfaitement chaque individu mais je devinais qu'il s'agissait de deux femme et un homme, il passèrent devant moi sans me remarquer et je les suivit silencieusement, espérant qu'ils me mèneraient jusqu'à la sortie. 

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