Léonore est amoureuse depuis vingt ans du même homme : son ami d'enfance George. Un romantique dans l'âme mais tellement convoité qu'il en est devenu inaccessible pour elle. Séparés pendant des années et travaillant maintenant dans la même boite d'a...
Aujourd'hui (le 5 août) c'est mon anniversaire et cette histoire est mon cadeau parce que j'aime vous gâter ! J'espère que c'était savoureux 🎂🎉
D'habitude je fais des avant-propos pour annoncer le sujet de mes histoires mais pour cette fois-ci, j'ai préféré tout donner ici dans une note de fin qui sera surement zappé par beaucoup de lecteurs.
Ceux qui me suivent depuis mes débuts savent que j'ai pour habitude de sortir deux nouvelles par an, une en été et une à la fin de l'année. Généralement, ça me sert plus d'exercice d'écriture mais également de trace pour constater de mes progrès dans mon style d'écriture.
Ici, j'ai voulu faire dans le basique : une histoire d'amour qui se finit bien. Un classique... Un classique que pourtant j'arrive toujours à faire prendre mille et un détour.
Mon inspiration pour The Man I (always) Love est vraiment très simple : ça part d'un rêve qui raconte à quelques détails près ce que vous avez lu. L'histoire d'une fille qui lorgne sur son meilleur pote trop BG mais qui est convaincu qu'elle n'a aucune chance, croyant toute l'histoire que la bague qu'il lui a confié est pour une autre qu'il va demander en mariage.
La fin de mon rêve fait moins rêver que dans l'histoire : c'était dans un appartement, sur le comptoir du bar d'une cuisine américaine où après avoir enlevé la bague, le fameux BG demande la fille en mariage sans une once de romantisme. C'était très bizarre et j'ai voulu modifier ça ^^
J'aurais pu aussi faire se terminer l'histoire moins bien et de façon plus réaliste avec une fin où Léonore arrive enfin à se détacher de son amour pour George mais je voulais une histoire confortable et finir sur une note qui fait rêver.
Bref, je pense que cette nouvelle apporte peut-être moins de questionnement sur la vie que les précédentes (quoique..) mais ça m'a beaucoup plus de l'écriture et de la lier avec l'univers de Food Porn Lover en retrouvant notre bon Andréa Simon.
Il est clair que l'on recroisera Léonore et George à l'avenir, en espérant qu'elle sera moins bourreau du travail et lui toujours aussi BG.
J'ai également tenu à enfin rendre hommage à mon compositeur préféré : George Gershwin. J'aime beaucoup ses œuvres, ses apports à la musique du XXème siècle mais également son impact à son époque et bien après. J'ai aimé lire des bouts de sa vie en biographie et jouer deux de ses préludes au piano (ceux du chapitre 2 et 5, mon préféré appelé aussi "Prélude Espagnol").
J'espère en tout cas que cette histoire vous a plu, qu'elle vous a fait oublier les chaleurs de l'été, un trajet trop long ou tout autre moment de votre vie où vous aviez besoin d'une douce pause. J'attends vos retours avec impatience et j'espère que vous voterez pour tous les chapitres (si vous avez oublié) !
Je vais désormais retourner sur l'écriture de la fin de La complainte de Givreciel (edit: j'ai fini de l'écrire hier soir !) puis essayer d'avancer sur The Marvelous Lion et The Jelly Beans 😉
Je vous souhaite à tous.ttes un très bon moment, de très belles vacances, une très belle journée ou tout simplement d'être heureux avec les gens que vous aimez.
Des bisous tout doux,
Anthéa Viki.
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Publication le 5 août 2020.
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