𝐒𝐞𝐭𝐞𝐧𝐭𝐚 𝐲 𝐬𝐢𝐞𝐭𝐞

111 5 0
                                    


I V A N I T A

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.


I V A N I T A

De Juan
Je vais partir de Portland, mon parloir est dans quelque heure. T'aurais la bonté de m'accueillir se soir ou faut que j'aille chez notre frère?

Je soupirer en fixant mon téléphone avant de maintenir ma tête avec ma main, mon mal de crâne m'écraser le cerveau, que ce que la redescende est amer. 

A Juan
Ma porte est ouverte, tu fait se que tu veux.

Je relâcher mon téléphone avant de me laisser tomber sur le dos. La nuit a était courte et je me sent mal, sa fait des années que mon corps n'avait plus était habituer à ingurgiter autant d'alcool d'un coup et je doit bien avouer qu'il n'était peut-être pas d'accord avec cette décision. Mais je croit que sa ma fait du bien au fond, enfin en quelque sorte.

Faire de mauvais chois a certe des répercutions sur vos vie mais parfois, sa aide. Parfois sa nous fait respirer comme hier soir, je savais déjà d'avance que j'allai être au plus bas et que je ne serait même plus comment je m'appelle mais finalement est ce que c'est grave? non, pas du tout. J'ai même prit plaisir à avaler cette quantité incalculable d'alcool, même si je doit avoué que je préfère la drogue c'était toute aussi appréciable. Tout ce qui crée un changement en vous et sur vous est appréciable.

Je me relever complément du lit avant de récupéré mon téléphone pour sortir de la pièce, je traversais rapidement le couloir avant de rentrer dans sa chambre, il était affaler sur le lit, fixer sur sont écran de téléphone. Je ne prêtais pas vraiment attention à sa présence et poser mon téléphone sur le meuble avant de m'enfoncer dans notre dressing, je récupérer quelque chose de simple qui fera l'affaire et ressortais pour aller dans la salle de bain.

Je lancer l'eau avant de me déshabiller complètement, j'ai peut-être dû reperdre un kilos ou deux depuis quelque semaine, depuis mon séjour en Colombie mon corps est hésitant, il aime maigrir et grossir quand sa lui plaît, des que dans mon entourage quelque chose ne va pas je perds du poids, c'est invivable.

Je fixer quelque instant mon visage fermer et cerner, ma fatigue reprend complément surface sur mon corps, mon esprit remplie prend le dessus sur ma fatigue, c'est un sorte de cercle vicieux.
Je ne me sent pas vraiment à ma place ici, il est toujours là et tout le monde m'entoure vingt quatre heure sur vingt quatre mais ou que je sois c'est toujours le même refrain.

J'aimerais pouvoir me retrouver seul quelque temps, fasse à moi même, pouvoir prendre des décisions tête reposer, pouvoir penser à un tout et un rien, pouvoir me ressourcer. Même si les dernière fois que j'ai penser comme sa tout c'est mal passer pour moi maintenant c'est différent, car j'en ai vraiment besoin.

LOYALTYOù les histoires vivent. Découvrez maintenant