une rencontre imprévue.

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Pdv Astrid.
Je suis maintenant enceinte de presque 7 lunes. Je commence à être grosse..  Harold m'a dit que non mais moi je pense que si. J'ai du mal à bouger, et au moindre effort je suis essoufflée, même volé sur Tempête est compliqué.
L'hiver commence vraiment à être la il neige, je vais voir ma mère.
- Maman tu es la! Personne! Génial!
Je sors et je me promène sur la place du village. Je discute avec plusieurs femmes.
- tu es tellement magnifique. Tu en es à combien de lune? De demande l'une d'entre elle
- 7. Et le temps n'avance pas assez vite! Elles rigolent.
- et vous allez vous marier? Je ne comprend pas pourquoi ce n'est pas déjà fais un homme comme ça j'aurais peur qu'il me file entre les doigts.. fit une autre.
- Harold n'est pas ce genre d'homme. Nous avons pris la décision de nous marier après la naissance de notre enfant. Je défend mon homme.
- Tout les hommes sont pareils des que leurs femmes sont moins disponible ils vont voir ailleurs. C'est bien connu. Mon mari est encore persuadé que je ne le sais pas. Dit la plus âgée.
- Vous avez accepter ça sans rien dire
?
- Nous n'avons pas notre mots à dire. Et puis de toute façon il faut le prouver.. rajoute une autre.
- Ne t'inquiète pas  continue la plus âgé, ça ne dur qu'un temps c'est dans l'ordre des choses, tu es moins disponible pour l'instant il va allé évacuer la pression ailleur, et quand se sera fini il va revenir tout simplement... elle finit en souriant en plus...
- excusez moi. Et je m'en vais je ne peux pas écouter ça plus longtemps. Imaginer Harold dans les bras d'une autre me donne la nausée!
Je vais tranquillement jusqu'à l'arène suivie par Tempête ma fidèle amie.
Je vois Harold donner des cours, à plusieurs personnes qui souhaitent en apprendre plus et nouer des liens plus forts.
-.bien je pense que nous en avons assez fais pour aujourd'hui. Mettez en pratique ce que je vous ai  enseigné aujourd'hui. A la semaine prochaine.
Et il me voit. Il s'approche en souriant et en me regardant dans les yeux.
- Bonjour toi. Comment vas tu? Me dit il charmeur.
- bonjour je l'embrasse. Je, nous allons bien. Je ne t'ai pas entendu partir ce matin.
- je suis parti de bonne heure je ne voulais pas te réveiller. Je suis aller volé, ensuite je suis allé aider à réparer le toit des parents de Varek puis je suis venu ici. Mais je n'ai pas oublier de te préparer ton petit-déjeuner..
- tu as déjà fais tout ça! Moi qui pensais avoir réaliser un exploit en venant jusqu'ici! Nous rigolons ensemble. Mais je m'arrête vite les paroles des femmes me trottent dans la tête.
- hé quelques choses te tracasse.. parle moi mon amour.. me demande Harold.
- Rien, Rien du tout. Je dois aller voir ma mère. Je t'aime. Tu le sais.. dis-je peu sur de moi..
-Moi aussi je t'aime. On va te déposer avec Krokmou. Viens! Je le suit et j'avoue je suis heureuse qu'il me dépose. Krokmou saute vers moi.
-Salut mon grand. Comment vas-tu? je suis trop grosse pour toi, il va te falloir un gros effort pour décoller! Il me regarde, un regarde qui veut dire n'importent quoi tu ne sera jamais trop grosse je suis un furi! Krokmou est le dragon le plus expressif que je connaisse. Harold monte, je m'assois derrière lui. Krokmou s'envole en douceur, nous passons au dessus de la place du village et la je comprend que j'ai le droit à une grande balade. Nous faisons le tour de l'île les paysages sont magnifiques.. recouvert de neige, Harold a fais exprès il sait que j'adore l'hiver! Heureusement qu'il dure 6 mois sur Beurk. Notre mariage sera parfait p!
Nous nous posons en douceur..
- Merci mon amour c'était magique. J'aime les paysages de l'hiver. Je l'embrasse.
- mais de rien Milady. Te faire plaisir est mon seul but dans la vie... Krokmou grogne.. oui toi aussi mon grand! Je rigole.
- A toute a l'heure. Et ne fais pas de folie! M'ordonne t-il
- Quelles folies pourrais-je bien faire sans toi? Il m'embrasse et decole.
-Astrid! Je te chercher.
-Maman! Je suis passé à la maison tout à l'heure mais il n'y avais personne. Et Harold m'a emmené voler. Je me justifie encore comme si j'avais 15 ans les veilles habitudes ont la vie dur.
- tu voulais me voir? Ma mère me regarde dans les yeux
- Oui.. on peut aller chez moi? Je dis lui un peu gêné.
- bien sûr! viens
Nous arrivons chez moi. j'offre un thé à ma mère je ravivent le feu.
-Il fais chaud chez toi. relève ma mère
Je ne veux pas dire à ma mère la raison. Harold préfère que je sois entièrement nue et que l'on soit au dessus des couvertures quand on fait l'amour. Alors il fais chaud. je souris et je ne répond rien.
- Alors de quoi veut tu qu'on parle?
- De deux choses enfaîte. Je voudrais que tu me dises en détails comment se déroule un accouchement je veux savoir à quoi m'attendre et l'autre je sais pas si je peux t'en parler...c'est pas un sujet facile avec sa mère...
- commence par celui la alors vas-y lance toi je te promets que si je peux t'apporter des réponses je le ferais! Le ton de ma mère me détend je me lance.
- J'ai discuté avec des femmes au village ce matin, elle m'ont dit que plus j'allais grossir moins j'aurais envie de faire l'amour et que en plus  je serais moins attirante au yeux d'Harold alors il irais voir une autre femme le temps de.. (je me met à pleurer).. l'idée que Harold touche une autre femme.. je ne peux pas l'accepter.
Ma mère viens elle me prend dans ces bras..
- Ma chérie voyons...
- elle m'ont dis que tous les hommes faisaient ça que c'était normal...  je pleurs de plus belles...
Elle s'agenouille devant moi.
- Ma fille regarde moi! M'ordonne telle. En ce qui concerne les maris de ces femmes je ne sais pas. Mais le tiens jamais, il ne ferais une chose pareil! Tu es son monde. Et de ce côté là je sais qu'il t'attendra. Même si ça veux dire qu'il doit se priver. Il ira voler avec son dragon le connaissant. Ma mère me sourit. Bien maintenant une question. Est ce que Harold semble moins attiré sexuellement par toi?
-.Euh... Non. Non nous sommes moins.. actifs mais je suis fatigué mais non Harold est toujours aussi attiré. Je retrouve le sourire. Merci maman.
- Bien maintenant ta deuxième question, ça va être douloureux ma chérie, tu vas ressentir des violentes douleurs dans le ventre, je serais là et Gothik aussi et sans doute 2 autres femmes. Gothik devra t'examiner régulièrement pour savoir quand tu devra pousser, après il faudra que tu pousse fort! Une fois le bébé sorti moi et les autres femmes s'en occuperons Gothic s'occupera  de toi, il faudra peut-être te recoudre un peu. Ça ne sera pas une partie de plaisir ma chérie.
- Harold pourra être la? Je me doute de la réponse mais je veux savoir.
- Non mon cœur aucun homme n'a le droit d'être présent. Je suis désolé. Me dit elle.
- merci pour ta franchise. Je sais que le premier sujet est pas facile a abordé pour toi. On pourra en reparler pour l'accouchement? Ça fait déjà beaucoup de choses pour ce matin.  Dis-je dans mes pensées
-.Bien sur mon ange. A bientôt ne te lève pas je connait le chemin. Et elle s'en va.
Harold rentre. Il se fige en me voyant.
- Tu as pleuré? Me demande t-il
- oui, ma mère et venu. Et on a discuté.
Il ne dit rien d'autre et va remplir deux assiettes de ragoût. Ils déposent sur la table.
- les femmes du villages m'ont dit que tu allais me tromper. Il manque de s'étouffer.
- je préférerais me couper ma deuxième jambe moi même! Lache t-il
- oui c'est ce que ma mere a dit aussi en gros.
- de toute façon mécaniquement je ne pourrais pas.... rajoute t-il
- Mécaniquement? Je m'interroge.
- oui... tu sais quand tu t'amuse à me caresser, pour je que sois "content de te voir" me dit il avec un clin d'oeil.
- A ça,...
- oui, et bien je ne pourrais pas etre content de voir une autre femme que toi, et il m'embrasse.
Je suis rassurée. Nous mangeons dans un silence détendu
Une fois fini je débarrasse.
- j'ai demander à ma mère pour l'accouchement... tu ne pourra pas être présent. C'est sorti d'un coup. Je respire.
- j'ai peur de ça tu sais. Me dit-il
- moi aussi, apparemment je vais beaucoup souffrir, et comme dit ma mère se sera pas une parti de plaisir. J'aurai voulu que tu soit présent....
- je serai avec toi, et si je le pouvais je souffrirai à ta place tu sais. Me dit il
- je sais.. je t'aime. Ne couche pas avec une autre femme, s'il te plaît, j'ai pas envie de t'enfoncer ma hache dans le cœur je le préviens en venant me blottir contre lui.
Il rigole.
- c'est noté Miss Hofferson.
- tu fais quoi cette après-midi? Je ne dis rien mais j'ai envie qu'il reste moi.
- je n'ai rien de prévu, je dois voir mon père mais plus tard dans la soirée. Donc je suis tout à vous Milady! Je jubile intérieurement. j'ai un grand sourire! Il est toujours assis sur sa chaise je viens me mettre face à lui je m'assois j'ai les jambes écartées sur lui et je commence à l'embrasser.
Me prenant par surprise,il se lève je noue mes jambes autour de lui nous nous embrassons toujours. Il me porte jusqu'au lit ou il me place au dessus de lui. Je me lève, il s'assoie sur le lit. Je me déshabille lentement.. il me regarde et n'en perd pas une miette. Je me rend compte qu' a ses yeux rien à changer il aime toujours autant me regarder.   Une fois nue.. je m'avance doucement..il m'attrape par les hanches. M'embrasse un sein puis l'autre. Puis s'arrête.. se lève nous tournons je m'assoie il se déshabille.. une fois nu il se rassis sur le lit je me met à genou devant lui  et le prend dans ma bouche, je constate que la mécanique fonctionne toujours aussi bien... je m'arrête.. et je me positionne sur lui, je le fais rentrer en douceur.. Hmmmm.. la sensation est indescriptible.... je sens chaque centimètre s'enfoncer en moi, puis je commence à bouger...
- je t'aime... s'il te plaît ne soit qu'à moi..  lui dis-je a son oreille.
- a jamais, je te le jure! Parole d'un Haddock. Ces mots déclenche mon plaisir des spasmes s'emparent de moi et sens également ceux qui parcours Harold signe de son plaisir...
  Je me blottie contre lui.
- Ce que t'on dit ces femmes t'a vraiment perturbé pour que tu me le redemande en plein câlin? Me demande t-il
- je sais pas, apparemment un grand nombre de femme a vécu ça. Elle m'ont dit que tu allait me trouve de moins en moins attirante, et que moi j'aurais de moins en moins envie.. et en plus après l'accouchement on pourra pas pendant un long moment. Elle m'ont dis de pas m'en faire c'étais l'ordre des choses mais que tu reviendrai après comme si de rien n'étais. J'ai un frisson. Rien que t'imaginer dans les bras d'une autre j'ai envie de vomir! (Je commence à pleurer) comment elles ont pu me dire ça!
- Hé bébé! Mon coeur, on va arrêter d'en parlais tu va arrêter d'y penser je t'aime je n'est pas connu d'autre femmes et jamais je n'en connaîtrai et tant mieux! D'accord! Alors arrête maintenant.. et c'est un ordre! Je rigole mais je m'arrête!
Je me blottie d'avantage et et je m'endors.
Quand je me réveille, il y a une couverture sur moi et Harold est parti .
Je me rhabille et décide d'aller faire un tour
- Astrid! Je me retourne
- Varek tu vas bien!
- Oui et toi?
- Très bien tu sais où est Harold?
- dans la grande salle avec son père. Je t'accompagne. Il me tend son bras.
-Avec plaisir. Dis-je avec un sourire
- tu es allée voir le navire marchand qui vient d'accoster il a plein de choses sympa à bord? Me demande t-il
- au non je ne savais pas. Il est là jusqu'à quand?
- demain je crois, le capitaine va aller voir Stoïk bientôt.
- Génial, nous entrons dans la grande salle.
- Harold et son père sont attablés avec Gueulfor, Rustik et les jumeaux.
- Bonsoir tous le monde. Harold a un grand sourire quand il me vois.
Son père se lève quand il me vois.
- Astrid.
Nous nous asseyons et les discussions reprennent.
- le navire marchand va pouvoir rester combien de temps demande Varek.
-Il faut que j'en parle au capitaine! Après on verra. Fit Stoïk.
- Tiens d'ailleurs quand on parle du loup.
Un homme rentre dans la grande salle il doit avoir une quarantaine d'années il est accompagné d'une femme, plus jeune dans la vingtaine.
Il se plante devant Stoïk.
- Le célèbre Stoïck la Brute c'est un honneur! Dit il. Je suis le Capitaine Achour du navire marchand l'Opale.
Et voici ma magnifique épouse:..
-Mira... souffla Harold.

Un Chef Protege Les Siens!Where stories live. Discover now