Quand tu seras tourmentée, perdue,
Comme une main sur ta tête nue,
Je t'apaiserai. J'apparaîtrai
Comme le clair de Lune espéré,
Tairai les variations de ton âme,
À ton coeur j'apporterai le calme.
Toujours je serai à tes côtés,
Ta voix quand tu voudras hurler.
Contre les craintes je serai ton arme,
Sans peine je récolterai tes larmes,
Et alors, je t'apaiserai toi,
T'offrirai un prélude d'espoir,
Et quelque soit ta symphonie,
Je suivrai la quête de ta vie.
Dans ton corps je resterai ancrée,
Et serai ton guérisseur secret.
Lorsque tu perdras le tempo,
Danse sur un heureux concerto,
Et tu ne seras plus affligée.
Moi, la musique, je t'apaiserai.
