Five Night At Freddy's

H.S : Je te hais mais pas autant que je le voudrais

Pourquoi il colle Rubis ? Pourquoi il colle toujours ceux que j'aime ? Je n'en peux plus, Il les fait fuir comme la peste, encore et encore. J'aimerai être heureux pour une fois, une seule fois.

Assis sur mon lit, je soupire, Rubis dort à côté de moi. Elle semble si paisible...

Je me lève et pars direct dans la cuisine, je veux croiser personne en trainant. Je prépare le déjeuner en restant pensif. Les autres arrivent, II arrive, et à peine là, il recommence à tourner autour de ma Rubis. Elle rit. Pourquoi rit-elle à ses blagues nulles ? Pourquoi ?

Le déjeuner se passe calmement. Je n'ai pas faim, le voir si près d'elle m'énerve. C'est sûrement pour cela que j'oblige les filles à faire la vaisselle, j'ai un espoir qu'il la laisse... Elles obéissent et moi, je pars vers ma chambre.

Il m'énerve tellement, ce putain de lapin jaune me saoule, il tourne autour de MA Rubis à longueur de journée ! Elle est si mignonne, chiante mais tellement mignonne, et un peu naïve... elle ne voit même pas ce que mon frère essaye de faire... Je dois la protégée, je dois vraiment la protégée de lui, c'est tout ce qui compte.

Je soupire et marche dans le couloir menant à ma chambre. Il faut que je me calme, jouer de la guitare me détendra et me fera retrouver mon sang froid. Rubis m'a enfin rendu mon médiator.

LEMON

« - Alors p'tit frère, tu boudes ? »

Springtrap me bloqua contre un mur, son sourire amusé et malicieux me fait peur, ça ne me rassure pas.

« - laisse-moi Springtrap, j'ai pas envie de perdre mon temps avec t-AH ~ »

Mon frère vient de remonter son genou entre mes jambes. Je rougis fortement et essaye de le repousser mais le lapin jaune est plus fort que moi.

Puisque les filles avaient frappé l'entre-jambe de Freddy, Foxy et Springtrap, on pourrait croire que nous, les animatroniques, n'avons pas d'appareil reproductif mais si, tous les animatroniques en ont un. On peut seulement l'activer lorsque l'on pressent un petit bouton cacher entre le... le... et le... bref ! Springtrap sait où il est et ne se fait pas prier pour presser violemment ce putain de petit bouton.

Je suis sensible à ça, beaucoup trop sûrement. Alors quand le genou de mon frère se presse à mon membre sortir, je lâche un gémissement.

Springtrap sourit de toute ses dents et me tire par le bras jusqu'à ma chambre, il me pousse sur mon lit et se met sur moi. Il pose ses lèvres sur mon torse après avoir retiré mon tee-shirt. Le lapin attrape, entre ses dents, un de mes tétons ; mon corps se cambre, ma gorge laisse échapper un second gémissement. Les mains de mon tortionnaire glissent le long de mon corps, les dirigeant tout droit vers mon chibre. Il le caresse distraitement puis le délaisse, descendant jusqu'à mon...anus qu'il titille avant d'y insérer un doigt, ce qui m'arrache un cri de surprise. Il presse sa main sur ma bouche, se penchant pour embrasser ma gorge. Il commence à bouger son doigt de plus en plus puis en rajoute un second, descendant ses baisers. Ses lèvres arrivent finalement à ma virilité, il pose des baisers dessus tout en ajoutant un troisième et dernier doigt.

« - S-Stop ~ ! » Hurlais-je en tremblant comme une feuille. Je me mords la lèvre et pousse plusieurs plaintes quand je ne sens plus ses doigts.

Springtrap me tire dans la salle de bain, dans la douche tout en se déshabillant. Il me plaque contre la paroi, dos à lui et frotte son sexe à mon intimité.

« - Un... deux... trois~ »

Il me pénètre lentement en grognant. J'aurais voulu l'insulté de fils de pute mais en toute logique, on a la même mère alors je me tais, je reste silencieux pendant qu'il me donne de nombreux coup de rein. Après quelques minutes, il s'arrête, j'en profite pour reprendre ma respiration. Mais lorsque je sens les deux doigts de Springtrap entrer dans ma bouche pour jouer avec ma langue, je comprends rapidement que c'est une feinte. Il reprend les vas-et-viens, ses doigts dans ma bouche m'empêche de retenir mes gémissements de plaisir et mon cri quand il percute violemment ma prostate. Je commence alors à jouir.