A mon frère parti très tôt.
Mon cœur est criblé à force de te penser.
En silence,coulent mes larmes face à l'étau qui se resserre sur ta famille. Dépenser,
Père et mère le font plus que tu ne puisses l'imaginer.Quand tu partis,je n'étais pas encore de ce monde.
Et, parfois,père à l'air moribond
A chaque fois qu'il te conte.
Il est brave tu sais, mais que peut-il face
A l'éternelle peine qui lui hante?A dire vrai,je n'étais pas encore prêt à prendre ta place.
Mais qui suis-je vraiment pour retarder l'irrévocable volonté divine?
Ton âme,jouit de bonheur,je devine.Aujourd'hui, j'ai pris ta place. Je suis l'aîné
Désormais, mais j'aurais voulu que tu sois
Là avec nous, ensemble chaînés
Par le sang de nos ancêtres. Reçois
Alors, en tant que frère, mes prières
Pleines de bénédictions que la mort d'hier
A causées.
KAMU SEDANG MEMBACA
Ma Guinée !
PuisiCe recueil ne constate pas,il s'indigne, il ne critique pas mais il dénonce et clarifie la situation des populations d'un pays dont la nature a favorisé. Cependant, dans ce pays,la pauvreté est monnaie courante, et son peuple est appelé à vivre une...