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『𓆸 𝗩𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗽𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲』
╔══════════════╗ Muzan Kibutsuji ╚══════════════╝ (* Oiran: Courtisane du plus haut rang de maison de concubine différent des prostituées, les oiran sont connue pour leur talents en chant et en dansse ou même en art / Hime**: Princesse)
Tu es une l'Oiran*, Y/n-Hime** de la maison Kyokūchirobu. Tu es d'une beauté à couper le souffle. Tu surpasses même l'Oiran Warabihime.
Patron— Oiran Y/n-Hime nous n'attendons plus que toi. Es-tu prête ?
T/p-Hime— Oui patron.
Les deux jeunes filles qui s'occupaient de toi s'éclipsent de ta chambre. Après de longues heures, aucun homme n'était passé dans ta chambre. Ce qui te dérangeait beaucoup. Tu étais extrêmement belle ! Aucun homme n'avait jamais résisté à tes charmes.
Puis quelques minutes plus tard, la porte de ta chambre s'ouvrît laissant apparaître un bel homme en tenue assez différente de la vôtre.
Cet homme devait avoir la trentaine voire moins. Son aura et son attitude t'existèrent au plus haut point.
Tu te levas, quittant ton koto, avant de t'approcher de lui et pose ta main avec sensualité sur son torse. Tu le poussas contre la paroi de ta chambre et approchas tes lèvres de son oreille et lui susurra:
T/p-Hime— Que voulez vous monseigneur ?
Il empoigna ton coup et te susurra à son tour:
?? — Je veux ton âme... Je te veux toute entière
T/p-Hime— A qui ai-je l'honneur ?
? — Muzan Kibutsuji, vous devez être T/n, T/p-Hime si je ne m'abuse.Demande-t-il de façon rhétorique connaissant déjà la réponse.
Tu hochas docilement la tête et passa ta main dans sa chemise. Tu embrassas la commissure de ces lèvres. Il te stoppe net et te dit froidement :
Muzan— Ce n'est pas ni le moment ni l'endroit ma chère.
Son ton était glacial ce qui eut le don de te faire jouir de bonheur et de t'exciter encore plus. Cherchant à lui désobéir, tu retiras sa cravate et la jeta à travers la pièce.
Lorsque ton regard joué croisa son regard dur et froid tu compris que tu avais fait une bêtise. Il dit sur un ton doux mais direct
Muzan— Je te laisse cette chance de t'en sortir vivante alors arrête tout de suite.
Tu refusas aussitôt, et soudain le noir d'envahis. Lorsque tu ouvris à nouveau les yeux tu étais dans un lit avec Muzan. Dans une pièce que tu ne connais pas. Et qui ne ressemble pas à ta chambre.
