Chapitre 10 - THE END.

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Je décide de rentrer chez moi.

Je fonce dans ma chambre, balance ma veste et me cale sur mon lt.

Je pleure. Les larmes coulent toutes seul, je me rend compte qu'il ne m'aime bien que quand il est défoncer. Cette défaillance de mes yeux continue. Allonger sur le lit, je comtemple le plafond blanc, je me perd dans sa couleur, plutôt dans mes pensés..

Je me relève, m'assoie par terre devant ma fenêtre. Je contemple la pluie qui tombe sur le sol, les arbres, l'herbe s'humidifie.

J'ouvre ma fenêtre, je regarde au sol, c'est si haut mais pourtant si près de quelqu'un, une personne qui nous emporte tous.

Je fixe ce sol, il suffirait d'un petit saut en l'air, et l'évasion commençerait.

Je ne peux pas, j'ai peut être un père décèder, une mère a bout, un amour totalement impossible et une vie critique ou la popalution s'amuse sur le fait de ma différence, j'ai peut être une vie de merde, pas beaucoup d'amis, mais je les aimes, Débi c'est ma vie. Les autres je ne pourrait me passer d'eux.

Je suis toujours en larmes.

Toujours au bord du vide la fenêtre ouvertes.

" Je pars. "

Ces mots résonnais dans ma tête.

Un grabuge pas possible boudronnant en moi.

Je descend en courant au garage, je prend mes clefs, mes clopes, je monte sur mon scooter et démarre.

Je continue de pleurer.

J'accelaire.

La route est particulièrment glissant, la pluie glisse le long de mon bonnet que m'avait offert Débi pour mon anniversaire.

Je criais.

" Je t'aime ! "

" Je t'aime ! "

Je criai les prénoms de ma mère et de ma soeur tellement je les aimaient.

Jusuq'à ce qu'un prénom ressortent parmis ceux qui étais prononcé par mes articulations bocale.

" Christophe. "

J'appela mon père.

" Christophe. "

Je pleurais, mes yeux étaient plus qu'emcombrés.

Mon scooter glissait.

Des phares de voitures m'éblouissaient.

Mon scooter glissait de plus en plus.

Je suis tombé de mon scooter.

J'ouvre les yeux.

Je suis au millieu de la route.

Je me lève.

Je ne vois rien.

J'aperçois des phares.

Il fonce droit sur moi.

Je ne prend pas conscience à ce moment la.

Je suis percuté.

Je suis à terre.

J'ai mal mais ça passe, ma douleur s'évapore peu à peu, mes yeux se ferment.

" Christophe. "

" C'est toi ? "

                                                              FIN.

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⏰ Last updated: Jan 24, 2015 ⏰

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