La tristesse d'un roi sans reine {Kagehina}

✨Chapitre 1✨

Est ce qu'être seul est quelque chose d'agréable. Pour moi, Tobio Kageyama, oui. J'aime être seul et ne pas être dérangé. Mais je vais vous poser une autre question.

Est ce que le sentiment de solitude est agréable?
Beaucoup d'entre vous me diront que non. N'est ce pas la même chose chose?

Alors pourquoi l'un d'entre eux me fais si mal. Tellement mal que mon corps ne le supporte plus. Tellement mal, que je serai prêt à tout pour le faire
Disparaître.

Après avoir passé toute la nuit à réfléchir je décide de me lever. Il est dois être 5h du matin. Mais mes nuits en se moment sont écourtés voir inexistant. Mon cerveau dérive vers se sentiment ou vers une petite personne avec des cheveux oranges.

Oui, vous l'aurez compris je suis amoureux de Hinata Shoyo. Moi, être amoureux de lui manquait plus que ça à ma vie déjà bien merdique. Non mais parce que être « les fils le plus décevant » selon ma mère, entendre ma soeur se venter d'être la préféré et me faire frapper par mon père.

Ça lui arrivait de me frapper quand j'étais petit. Quand j'avais fais une bêtise. Mais maintenant avec l'acool. Ça arrive pour un rien et beaucoup plus souvent. Je n'ai même plus le courage de le regarder dans les yeux maintenant.

Croyez moi que dans ma famille le fait que je suis amoureux de Hinata ne fait que compliquer les choix pour moi. C'est pour ça que je ne l'ai dis à personne. Les autres ils me détestent de tout façon. Ça ne changera pas grand chose.

Je finis par m'installer à table comme petit déjeuner un verre de lait. Je n'ai absolument pas faim depuis plus d'une semaine.

Ça coïncide bizarrement avec le retour de ma mère, ma soeur et mon père de leur voyage d'affaires. Moi je ne voulais pas y aller. Ça m'a valu des coups de ceinture. Mais je préfèrerai ça à aller quelque part avec eux.

Soeur: Alors morveux!! Tu déprimes que je suis revenu pour que tu ne sois plus le roi de cette maison?!
Moi: Laisse moi tranquille!!
Soeur: Tu ne mange que ça? Tu auras jamais de muscles! Pas étonnant que aucune fille ne veuille de toi!!
C'est trop pour moi je me lève en frappant des mains sur la table de la cuisine.

Mère: Pour l'amour du ciel!! Arrête de faire le bruit à 5h du matin!! Tu vas encore réveiller ton père!!
Des gouttes de sueur coulent sur mon front. Ma mère et ma soeur ne sont pas au courant de mes leçons de respect avec mon père. Donc si je le réveil j'allais prendre cher.

Je prend mon verre de lait et le mets à laver puis par chercher mon sac de sport et mes affaires de cours. Je reviens dans la cuisine pour être sûr de ne rien oublier. Puis me dirige vers la porte.

Soeur: Tu pars vraiment à 5h30 du matin?!
Moi: Pourquoi ça ça te pose un problème!!
Père: TOBIO KAGEYAMA!! Pourquoi crie-tu sur ta soeur!! En plus si tôt le matin!

Je m'arrête net. Je prends la porte et pars en la claquant. Je sais que se soir ça va mal aller pour moi.

Je marche dans les rues sans grande volonté chez moi ça se passe mal et je ne peut pas dire que en cours cela ce passe mieux. Si je continue à lutter c'est pour lui. Mon rayon de soleil dans le noir.

Je m'assoie sur un banc devant un groupe de gens de mon lycée. Je me demande ce qu'ils font là si tôt dès le matin.

Fille1: Ça sera pas Kageyama?
Fille2: Celui qu'on appelle le roi du terrain?
Gars1: Ouais c'est lui...
Gars2: Il fait flipper ce roi!! Viens on se barre!
Fille1: Je suis d'accord!!

Je les entend partir et autorise ma respiration à revenir après l'avoir couper en écoutant leur conversation.

???: Alors Kageyama?
Moi: Que me veux-tu, Oikawa....
Oikawa: Mais rien voyons!
Moi: Que fais tu ici?
Oikawa: Je suis venu te voir car on m'a dit que tu avais besoin de te détendre.
Moi: N'importe quoi!
Oikawa: Je viens juste t'apporter ça. Et je repars.

J'ouvre le sac qu'il me tend. Dedans il y a des cigarettes genre 5 packets. Un briquet et un couteaux-suisse de poche.

Oikawa: Le couteau c'est si les cigarettes ne marche pas!
Moi: Tu dis que je devrais me tuer?
Oikawa: Je connais ta famille Tobio! On a été ami un temps.
Moi: C'est faux, tu faisais semblant,
Oikawa: C'est vrai que je détestais...
Moi: On a jamais vraiment été ami...
Oikawa: C'est vrai j'allais oublier que le grand roi du terrain n'avait pas d'ami. personne ne veut de lui!! Sur ceux! Je m'en vais!

Je sens la place à côté de moi se vider. Je serre dans ma main le couteau. Puis me range dans mon sac d'école. Puis fait pareil pour les cigarettes. J'en garde que une à la main. Je l'allume et tire dessus.
Je ne sais pas si c'est parce que c'est la première fois mais c'est horrible je n'arrête pas de tousser. Quand je regarde l'heure je me lève jette l'horreur que j'avais entre les doigts à la poubelle et me dirige vers le lycée.