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15 JANVIER | 23h02.

Calum à Almina.

"Oui, j’ai passé une excellente nuit. Qui te manquent Aly ? Dis-moi. Pourquoi je ne peux pas, expliques-moi, je ne comprends pas. Tu sais que tu peux pleurer, je ne te jugerais jamais. Pleurer ce n’est pas pour les mauviettes ou pour les faibles… C’est une sorte d’échappatoire. Si tu as envie de pleurer, même au téléphone avec moi, vas-y, même si c’est seulement un message où tu pleures Almina, je ne te jugerais jamais. Je suis heureux, tu sais, depuis que tu es entrée dans ma vie, ce n’est plus vraiment pareil. Je n’arrête pas de parler de toi à mes amis et ils en ont clairement marre, vivement vraiment que je te rencontre et que je te les présente. Ca m’a surpris parce que des filles qui font de la boxe, c’est assez rare. Qu’est-ce que tu aimes d’autre comme sport ? Moi j’aime le football, mais je suppose que tu n’aimes pas ça. Les filles n’aiment pas vraiment le football, surtout le regarder. Je suis la cause de ton bonheur ? C’est tellement mignon, Aly, et je suis heureux de l’être d’ailleurs. Non, non, je ne te prends pas pour une folle. Moi aussi j’ai envie de te rencontrer, mais je comprends que tu veuilles tout me dire avant. Et je te prendrais dans mes bras jusqu’à ce que tu t’endormes même. Jusqu’à ce que tu souris et que tu me dises que grâce à moi, tout va bien maintenant dans ta vie."

Voicemail [Calum Hood]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant