Chapitre 17 parti 2

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Oh Alex, si tu penses que tu vas réussir tu te trompes largement. Tous partis à par un qui est resté devant la porte secours. J'avance dans l'ombre en me dirigeant vers le balcon maintenant désert, toujours caché je réfléchis à grimper sans empirer mes blessures. Va falloir que je monte sur la benne à ordure pour y arriver, il en a partout de ces bennes. Pourquoi autant et qu'es-ce qu'il y a dedans ? J'ouvre et voit.........des sacs de ciments vide ? J'ai ma petite idée de ce qu'ils font la-dedans. Je réussi à grimper jusqu'en haut et colle mon oreille sur la porte pour voir s'il y a quelqu'un à l'intérieur et entend un reniflement. J'ai un plan, je fouille le balcon et trouve ce que j'ai besoin.
J'avance vers la rembarde proche de la porte et lance la roche pour ensuite entendre un poc sur le pavé plus long. L'homme qui surveille la sorti sursauta et pris son téléphone.
- J'entends du bruit ! Viens !
-...
- Non ! J'y vais pas seul ! Imagine que c'est elle !
-...
- Dépêche toi !
Je colle encore une fois mon oreille sur la porte pour entendre des pas s'éloigner de la porte, j'attendais qu'il sorte. J'entre et je me retrouve dans un bureau ayant une fenêtre qui donne vu sur le reste de l'immeuble vquasiment vide de personne, mais pas d'outils ou d'ingrédient destiné à faire de la drogue. Mon hypothèse est confirmé, en apercevant les sacs de ciment à droite de la fenêtre. Ils s'en servent pour transporté la drogue, vieux truc, mais très efficace. Je prends des photos et me dirige vers la porte, pour sortir du balcon j'aperçois les deux hommes revenus vers la porte d'un pas furieux. Pauvres petits ! J'essaie de descendre sans faire trop de bruit.
- Putain de rats ! S'exclama l'homme de la porte.
Pauvre idiot ! Je prends le même chemin que j'ai pris pour l'arrivé et me dirige vers mon auto. J'entre à l'intérieur et respire un bon coup avant de remarquer l'heure 11h30 p.m, oh,oh Lewis sera pas content, je lui avais dit 11h. En plus des 40 minutes pour arriver chez nous. Je suis dans la merde, il va me péter un coche de malade, déjà quand temps que meilleur ami, il était surprotecteur. En temps que fréquentation...j'imagine pas.

12h10, j'arrive à la maison et il y'a un Lewis devant la porte d'entré à peine sorti qu'il courre vers moi pour me prendre dans ces bras, je suis bien . Le problème c'est qu'il me lâche plus.
- Lewis ?
- humm
Tu m'étouffe !
- Je t'aime.
- Si je meurs, t'auras plus grand chose à aimé.
-...
- Allez..
- Non.
- Oui.
- Non.
Je fais quoi ?
- Dégage le gros !
- Jamais.
- Je t'aime.
- Ok je te lâches ! Mais en passant je suis pas gros, mais parfait bébé.
Je lèves les yeux au ciel.
- Ashoka ! Rentre !
Mon père.

Fille d'un GangsterWhere stories live. Discover now