De sa chambre d'hôpital, Laurina regarde le coucher de soleil. La lumière des derniers rayons de cette boule jaune vient caresser une dernière fois sa peau couverte de sa folie et du sang de son ennemi. Sur sa montre à gousset blanc il est indiqué 6h30. Sa pièce à vivre était blanche, l'homme qui venait la soigner était allongé sur le sol. Une parfaite journée finissait. De son sourire habituelle, elle prend les clefs qui pendouillais de la poche de sa victime. Elle marcha tranquillement, chantonnant les chansons qu'on lui avait apprise, pendant que quelques alarmes inutile résonnaient et quelque gardes paniquaient. En effet dans un monde qui vous est surement inconnue, les hôpitaux psychiatriques sont méticuleusement surveillé et pas que par de simple infirmiers ou aide soignant. On les appelle couramment les « déficients » et bien sur à cause de leurs intelligences hors norme. Au dessus ou en dessous du Qi définie par cette société, tous sont « soigné ». Les déficients ne s'échappent jamais, sauf quand une personne joue avec les règles de ce jeux tordu.