Parfois, on a personne avec qui partager nos mots. Ces mots de douleur, ces mots de peur. Parfois, on a personne avec qui partager notre souffrance. Celle-la qui nous broie, celle-la qui s'accroît. Parfois, on a personne avec qui partager nos doutes. Ceux-ci nous troublent, Ceux-ci nous bouffent. Et parfois. On juste personne. Alors, dans ce cas de figure, dans cette optique là, où la solitude est notre plus fidèle compagne: On écrit. On écrit. Encore. Et encore. Parce qu'écrire ça libère, et ça soulage. • • • Ou pour faire plus simple... trois pages d'un journal, celui d'un gamin de 14 ans, donc le reste des écrits n'a jamais été retrouvé... comme son propriétaire. • • • Ce livre, n'en est pas un.
4 parts