Alastor ne craint aucun homme. Il devrait savoir. Il a été soumis à maintes reprises à l'essoreuse proverbiale. Ses peurs frôlent le primal, avec des racines fermement ancrées dans la réalité plutôt que dans la superstition. Il est l'annonciateur de la mort. Le pernicieux héraut de la malice. Ou du moins, se rappelle-t-il alors qu'il fixe son plus grand ennemi à ce jour : Une boîte en feutrine joyeuse - si l'on devait l'anthropomorphiser - et apparemment anodine. (En d'autres termes : Alastor est un imbécile sans espoir et mélodramatique et c'est son moment de venir à Jésus)