Le chapitre 49 d’HEKA TOMBE publié ce soir est un achèvement et un soulagement. J’ai enfin réussi à exprimer le propos de mes années de recherches ; à démonter, avec simplicité et légèreté, les mécanismes du fantasme autour de la civilisation d’Égypte ancienne et de son système de magie très souvent incompris, mal interprété et, malheureusement, détourné pour le profit, voire jusqu’à abuser d’autrui. J’en suis fière, si ce n’est pour le style qui reste à prouver, pour le personnage d’Elo, qui incarne la force que je n’ai su tenir. Si vous envisagez de lire ce roman, je vous en remercie et espère ne pas vous décevoir. Pour mes lecteurices actuel.les, merci de le faire vivre, car oui, comme vous le verrez dans ce chapitre, les mots n’ont une existence et une force que s’ils sont lus.
