Dans mon quartier, les ruelles racontent des histoires,
Des enfants qui rient, des rêves sans gloire.
Les lampadaires éclairent des vies en vrac,
Des espoirs fragiles, des cœurs en vrac.
Les murs tagués portent les cris des âmes,
Des luttes, des peines, et des petites flammes.
La musique résonne des fenêtres ouvertes,
Le pouls d’une vie intense, à chaque porte ouverte.
Ici, on vit, on survit, on rêve, on résiste,
Le quartier, c’est notre scène, notre cœur, notre piste.