Parfois on a l’impression que tous roule, on se voile la face, on a peur d’affronter la réalité, et on l’a met dans une boîte...
mais dans cette boîte la réalité morbide s’amplifie et le jour où elle ne peut plus rentrer dans cette boîte elle sort et nous explose à la gueule...
parfois il suffit d’une roue du charriot pour vous faire basculer du chemin...
parfois il suffit d’une larme pour exprimer votre chagrin...
parfois il suffit d’une minute, un message, un mot pour vous montrer que tous ce que vous avez vécu comparé à ça, ce n’était rien...