Tu es (t/p), une jeune fille que la vie a décidé de faire souffrir. En effet, ton père est mort dans des circonstances mystérieuses juste après qu'il se soit remarié. Ta belle mère et toi ne vous appréciez pas et ne faites rien pour que cela s'arran...
******Je vous souhaite une bonne lecture Ladies and Gentlemens*******
Je suis une jeune fille qui voyage souvent à cause de l'entreprise de mon défunt père. C'est moi qui la dirigerai plus tard. Je sais, je sais. Une femme ne peut pas diriger une entreprise, dans quel monde vis t-on ? Mais mon père a bien stipulé dans son testament que tout me reviendrait une fois qu'il serait mort.
Le problème c'est qu'il a bien écrit que j'hériterai de ses biens quand j'aurais la majorité. Hélas, il me manquait 1 an au moment où il est décédé.
Je suis donc obligée de marcher à l'heure qu'il est derrière ma belle mère et mon insupportable demi-sœur adoptive. Ne vous méprenez pas, j'ai tout fait pour qu'elle m'accepte cette nouvelle soeur seulement..
L'humain est vraiment facilement corruptible. Il n'a fallu que de quelques cadeaux offerts à cette fille pour qu'elle perde tout raisonnement. Depuis, elle me voue une haine insondable encouragée par ma belle-mère.
Je suis persuadée au fond de moi que mon père est mort assassiné. Trop de zones d'ombre dans cette enquête et un timing parfait avec l'arrivée de ma belle-mère. Mais comment le prouver ?
Nous avançons tranquillement dans le train. Nous traversons le wagon restaurant doucement balloté au rythme du chemin de fer. Je n'aime plus les voyages, je dois sans cesse me déplacer pour des affaires qui malheureusement ne me concernent plus. Avant, papa m'emmenait avec lui pour m'apprendre les ficelles du métier. Il était gérant d'une fabrique d'armes livrées aux militaires de la Royal Military Academy de Woolwich.
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Belle-mère : Avance (t/p) ! Ce que tu peux être lente et désagréable !
(t/p) : A propos ? Je ne me rappelle pas vous avoir parlé ces derniers jours.
Ma belle-mère ne dis rien, vexée. Nous passons devant plusieurs tables mais aucune ne lui convient. Elle est comme ça, pénible. Soudain elle s'arrête si brusquement devant une table que je me cogne à son dos. Elle se retourne et, devant toutes les personnes qui mangeaient :
Belle-mère : Grand Dieu ! Mais (t/p) comment t'es-tu habillée ?! En garçonne en plus ! N'as-tu pas honte !?
(t/p) : Tant que ça ne me gêne pas, non
Belle-mère : Tu ne portes même pas de baleines en plus !?
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