Méfiance. Sirius Black

Chapitre 39

Haven s'étais réveiller deux jours après, aussitôt ses yeux c'étaient ouvert elle avait pu voir le visage de sa mère qui se tenait près d'elle tandis que le reste de sa famille se tenait derrière elle. Elle avait essayer de parler mais sa gorge lui avait donner l'impression d'avoir couru des kilomètre sans boire ce que avait par la suite déclencher une crise de toux tout sauf agréable. Après avoir bu elle avait pu parler un minimum avec ses proches. Puis notant la fatigue de la jeune fille ils avaient quitter la chambre afin de la laisser se reposer. Elle avait passé le reste de la journée à dormir jusqu'a quand fin d'après midi les filles de l'ordre: June, Amber, Lily, Dorcas et Marlène étaient venues lui rendre visite. Après s'être assurer que la malade c'était remis de ses blessures les conversations convergèrent alors vers des sujets puis légers

- Sirius es venu te voir? demande June

- Pas le moindre du monde et je ne suis pas sur de vouloir le voir

- Je ne sais pas si cela est important pour toi mais sache qu'il est venu te rendre visite quasiment  tout les jours, il a perdu sa joie de vivre et je le soupconnerais même d'avoir pleurer

Les trois griffondors qui elles n'avaient pas connaissance de la relation secrète entre Raven et Sirius se regardèrent perdues

- On a louper quelque chose? questionna Marlene

- Et pas qu'une ! déclara Amber

S'ensuivi un long récit diriger par la métisse qui était parfois interrompu par June qui rajoutait certains détail. Les griffondors étaient pendues à leur lèvres tandis que la principale concernée écoutait d'une oreille distraite l'histoire bien que ses pensées soit diriger vers celui qui lui avait causer tant de mal.

- Par Merlin comment on  fit pour ne pas remarquer tous cela ! s'écria Dorcas à la fin de l'histoire

- On est discret voilà tout, expliqua Raven d'une voix calme

- En y repensant c'est vrai que vous vous évitiez, remarqua Lily

- Franchement je ne le comprend pas, pourquoi faire ça ?

- Il en avait peut être mare de se contenter d'une seule personne. Vous connaissez Sirius ce n'est pas son style de sortir avec quelqu'un

- Non Raven, il sait très bien quand il ne cherche qu'une histoire du soir. La preuve il ne reste pas plus d'une journée avec, si il c'est engagé c'était qu'il ressentait quelque chose pour toi

- Si il ressentait quelque chose pour moi il ne serait pas aller voir ailleurs

Un silence accompagna ces paroles, toutes comprenaient la décision de Raven. Mais toutes avaient aussi remarquer un changement plus que flagrant du comportement de Sirius en compagnie de la jeune fille.

- Et si il regrettait ? , questionna June

- Et bien il vivra avec comme je vis avec le regret de lui avoir accorder ma confiance...

- Il faudra bien vous expliquez un jour ou l 'autre tu en es consciente ? Tu ne pourras pas l'ignoré toute ta vie

La rupture avait été brutale mais pour Raven tout était claire. De plus elle n'avait pas le temps pour les histoires d'amour. C'était la guerre et elle mettrait ton son énergie, se dévouerait corp et âme pour que le bien triomphe quitte à y laisser sa peau. Et seulement après ça elle s'occupera de avec qui elle voudra finir sa vie

****

Comme l'avait dit June la jeune femme du s'expliquer avec Sirius et se jour arriva dès le lendemain pour le plus grand malheur de la brune qui redoutait se moment. L'intégralité de maraudeurs étaient venu voir comment elle allait et outre ses angoisses elle était toucher du geste surtout de la part de James et Remus avec qui elle c'était rapprocher depuis le weekend passé chez elle l'été dernier. Après une heure à parler avec les deux maraudeurs étant donner que Sirius et Peter était rester au fond de la salle sans piper un seul mot, le groupe des garçons décida de partir

- Bon rétablissement Raven

- Merci les garçons

- Tu viens Sirius ?

- Je vous rejoins

Remus jetta un regard interrogateur à James qui hocha la tête, il savait que son ami devait s'expliquer avec Raven et qu'il avait repousser le moment trop longtemps pour continuer de l'ignorer. Une fois tous les deux seuls dans la chambre une atmosphère plus que lourde s'installa dans la chambre. La jeune fille gardais le regard sur ses mains qu'elle tordait signe de stress refusant de regarder le garçon qui lui essayait de trouver comment aborder la discussion.

- Il faudrait qu'on parle Raven tu ne crois pas ?

- On n'a rien à se dire Black.

- Tu es sûre de toi ? Même après plusieurs mois à s'ignorer du jour au lendemain

-  Je suis sur que tu en connais la cause. La jeune femme avait parler d'une voix sèche qui ne laissa rien transparaître

- Je...je suis désoler je n'aurais pas du

- Oui tu n'aurais pas du mais tu l'as fais.

- Raven...

- N'essaye pas de m'amadouer Sirius cela ne marchera pas

- Je ne veux pas te perdre Raven, et te voir souffrir cette nuit là me la encore plus montrer

- Il fallait réfléchir avant de me blesser. Je t'ai déjà pardonner et une fois que tu as eu ce que tu voulais tu t'es lasser et à voulu jouer. Grand bien t'en fasse mais je ne perdrai plus de temps avec ça surtout en temps de guerre.

- Venna.. par pitié tu sais que ne suis pas quelqu'un de réfléchis, mais je tiens à toi et je ne veux pas te perdre je ne peux pas continuer sans toi

- Tu l'as déjà fais tu peux le refaire et puis je suis sûre que tu trouveras quelqu'un pour me remplacer... ça aussi tu l'as déjà fais.

- Venna...

-On a plus rien a se dire.

- S'il te plait écoute moi

- Rien de ce que tu pourras dire ne changera la situation Sirius, sors de cette chambre et vie ta vie comme si je n'existais pas je tacherai d'en faire de même.

Restant plusieurs minutes silencieux les yeux embuer de larmes, le regard poser sur la brune qui avait garder la tête baisser tout le long. Il sortit alors enfin et ferma la porte derrière lui avant de s'asseoir adosser contre cette dernière. Sans s'y attendre il entendis des sanglots venant de la chambre et laissa libre cour à ses larmes. Il ne faisait rien d'autres que la blesser alors elle avait peut être raison, ils feraient mieux de vivre chacun de leurs côtés, au moins il ne serait plus la cause de sa douleur.