Chapitre 2

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Hello, Hello ! J'espère que vous allez bien et que vous avez passé une bonne journée. Pour ma part, ça et j'ai passé une excellente journée... Bref !

Bonne lecture !-------------

"Précédemment : « 27 ème avenue ! Grouille toi si tu ne veux pas arriver en retard ! T'es la meilleure ! Bisous je t'aime et appel moi une fois que tout ça c'est terminé. » Puis elle raccrocha et je la maudissais parce-qu'elle l'avait fait sans même me laisser le temps d'en placer une. Elle avait toujours le dernier mot et ça avait le don de m'énerver. "

J'avais donc décidé de ne pas contester son choix c'est pour cela que je me retrouvais devant une grande maison qui en ferait perdre la tête à beaucoup. Imposante elle m'en donnait des frissons, et en plus, ce n'était pas la plus grande maison de l'avenue.

« Jeon » c'était le nom que j'avais pu lire sur la boîte aux lettres avant que je ne sonne au grand portail en fer noir. Il n'avait d'ailleurs pas mis longtemps avant de s'ouvrir me laissant en découvrir davantage sur cette demeure, plus fascisante vue de plus près.

Il s'agissait d'une maison au style victorien, une immense bâtisse plantée au beau milieu d'un magnifique jardin, époustouflant malgré même le mauvais temps de ce jours. La beauté de ces lieux était telle que même si je n'avais jamais vue le paradis en photo, je savais que ce jardin s'en rapprocherait.

Tout était parfaitement à sa place, de la grande allée faite de graviers et décorée de part et d'autre par d'innombrable buisson couvert de couleur, aux arbres fruitiers, en passant même par les fleures et les courts d'eaux. Tout était parfaitement là où il fallait que ça soit.

Alors j'avançais, plus du tout certaine, jusqu'à la porte d'entrée. Cela avait du me prendre pas moins de 3 minutes pour la rejoindre et je n'avais même pas eu à frapper contre leur parois car quelqu'un avait dû l'ouvrir avant que je n'arrive.

D'ailleurs cette personne s'était hâtée, au pas de course, de me rejoindre. Il s'agissait d'une femme, pas la propriétaire de cette bâtisse puisque ce qu'elle portait ressembler plus à un uniforme qu'autre chose, âgée d'une soixantaine d'année, si ce n'est plus. Elle semblait essoufflée et quelque peu agacée. Pourtant je n'étais pas encore en retard. Certes j'avais pris un peu plus de temps que prévue. Le jardin ne m'avait pas aidé non plus. Mais il devait rester 5 minutes avant l'heure de mon « rendez-vous ».

« Bonjour Mademoiselle, venez ! Entrez ! »

Elle m'incitait à courir pour la rejoindre, parce-qu'elle s'était arrêtée à quelques mètres de moi puis sans un mot, elle m'attrapait le poignet afin qu'ensemble nous atteignons la maison. Que dis-je, la demeure.

J'évitais de penser que personne m'aie questionné sur mon identité, parce-que je trouvais ça louche et que j'aurais fait demis tour mais surtout parce-que les portes venaient de se refermer derrière mon dos et qu'il n'y avait plus aucune issue possible.

Ce n'était plus l'heure de regretter.

Alors quand la femme âgée me relâcha la main je me permis enfin d'observer les environs, un peu comme je l'avais fait avec le jardin. Je passais au crible ce merveilleux hall d'entrée sans doute plus grand que l'appartement dans lequel je vivais. Le décorateurs d'intérieur avait autant de mérite que celui de l'extérieur et je le remerciais énormément car il n'avait apporté aucune touche de modernité à ce hall.

Grossière erreur, et surtout trop vue. Le sol n'était pas fait de marbre et la pièce n'était pas vide, un lustre en cristal ne pendait pas non plus et ne reposait pas de parte et d'autre, sous les deux grands escaliers, deux simples consoles identiques.

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⏰ Last updated: Feb 22, 2021 ⏰

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GOUVERNESS [J.JK]Where stories live. Discover now