chapitre ll

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   _  Bien que la faute sois partager, je m'excuse répète elle. En me plantant là comme un idiot.
  Il me fallu un moment pour reprendre mes esprits avant de m'élancer à sa suite. Elle disparaissait déjà dans un couloir.

_  Chère demoiselle, permettez moi de vous demander votre nom.

_  Narcisse LOYALE.

  Bien que déjà au courant,  je fit l'etonnée.

_ comment ? Comme le feu chef de l'armée royale  Frédéric chairman LOYALE .....

_  Mon père! coupat elle d'un ton légèrement agacé.

  _ C'était un grand homme. Je l'admirait beaucoup.

  Durant toute notre conversation elle continuait à marcher. À cette phrase, elle s'arrêtat pour me fixer. L'émeraude de ses yeux reflétait quelques messages secrets, enfouis depuis bien longtemps. Ce regard ne dura qu'une dizaine de secondes cependant, j'eu le sentiment d'y être resté prisonnier des siècles. Elle me délivra en s'éloignant car, imperceptiblement je m'étais rapproché un peu trop près puis , s'en alla après m'avoir adressé ses politesses.

_ Veuillez m'excuser vôtre altesse.

  Je restait encore à la regardé s'en aller. Que faisait elle ici?? Prenant soudain conscience de mon état : Debout, en armure; loin de mes quartiers et qui plus es,  peu présentable; je me hâtait de m'en aller.

    Dès que ma femme de chambre vînt me prévenir que mon bain était prêt, je  ne me fit pas prier. L'eau chaude et la vapeur me permirent de me détendre . les yeux fermés, je faisais le point sur les évènements de la journée quand, je me souviens des propos de ma mère. Qui donc es ma fiancé forcé ? Ce terme ne me plaît pas beaucoup mais est-il si loin de la réalité des choses ? Est ce Narcisse ma mystérieuse fiancé? S'il s'agissait d'elle , je ne me ferais pas prier pour la conduire à l'autel .
Un grand éclat de rire me tira de ma mi-inconscience .

  _  Qui compte tu conduire à l'autel mon brave dit la voix de mon amis ?

  Tranquillement adossé à l'entrée de ma salle d'eau, Léonidas ne semblait pas gêné le moins du monde par la sévérité de mon regard. Désappointé, je fit remarquer avec cynisme:

_ Être mon meilleur ami ne te donne pas le droit d'entré à ton aise dans ma chambre. De plus, si tu veux te convertir en commère, les cuisines de fontaine-dorée sont meilleures pour commencer. 
        Il rougit légèrement puis s'excusa.

_  Quoiqu'il en soit , permet moi de m'habiller. À moins que les charmes de la demoiselle FONTAINE ne soit plus qu'un souvenir à tes yeux faces au miennes ....
  Il sortit rapidement en marmonnant de façon scandalisé.

         Pencher vers ma fenêtre les coudes sur les bords en marbre véritable, j'observais le jardin calmement l'esprit ailleurs quand, un bruit à la porte me tira de ma rêverie.

_ Entrez ! Dis je sans me retourner.
    C'était Ralph mon valet. Après ces salutations il Me rendit compte de ses recherches :
_ Altesse,  la jeune demoiselle; sujette à mes recherches es d'une famille aisée, nobles et proche de la famille royale du côté de son père feu Mr LOYALE . si vous avez bonne mémoire, vous l'aurez remarqué au banquet de l'année dernière. Elle s'appelle Narcisse Erin LOYALE. De ce que j'ai pu constater, on ne lui reproche rien sauf d'avoir éconduit tout ceux qui lui on demandé sa main.

_  Quel banquet ? Celui fêtant la majorité de la princesse ? Dis-je.

_  Celui là même. Mais elle n'a dansé que très peu . se contentant de resté à l'écart .

_ Bien . vous pouvez y aller.

_ Altesse, le roi votre père vous demande de passer à son bureau à neuf heures du soir.

  Il s'en allait quand j'eu l'idée de lui faire porté un billet de ma part à Narcisse.  Ralph ! Dis je en prenant une feuille sur mon bureau . Vous remettrez ce billet à mademoiselle Narcisse en main propre. Vous pouvez disposez juste tennez deux chevaux léger prêt pour moi dans la matinée.
         Il s'inclinat puis parti.

  Narcisse dans sa chambre en ce moment lisait pour parer à sa colère et à la monotonie du temps. Elle avait donné congé à sa suivante depuis son retour dans ses quartiers après la conversation animé qu'elle avait tenu avec sa mère sur ses futures noces .
Aussi fut elle surpris d'entendre cogné à sa porte si tard.

_ Qui est ce ? Demandât elle.

_ Ralph ! Mademoiselle. Je suis le serviteur de son altesse le prince rosselwiss . Il m'a confié ce billet à votre intention.

_ Bien ! Passer le sous ma porte je ne suis pas présentable.

  Il fit glisser une enveloppe beige puis s'en alla. Piqué par la curiosité, je pris l'enveloppe puis en sortie le billet rédiger d'une écriture fine et appliquer. Elle disait :

                 À Damoiselle Narcisse.
  Je vous ....




 UNE TACHE DE SANG SUR LA COURONNEWhere stories live. Discover now