XI

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  Le prince Rosselwiss marchait à grande enjambées dans le couloir. Il paraissait soucieux et ne semblait pas voir les salues que lui adressait les courtisans et valets de Fontaine-dorée. Les couloirs lui semblait plus sombre , les tapis plus mornes et le silence plus pesant.

Le conseil général des ministres aura lieu aujourd'hui.  Rapidement, il dévalait quatre à quatre les marches menant vers les appartements du Roi près desquels se trouve la salle du conseil. Déjà attablés, les ministres qualifié étaient tous silencieux. Il y avait quelque chose de grave qui se lisait sur leurs visages à tous.

  La table était rectangulaire totalement taillé dans du quartz. Elle n'était pas très haute et tout autour, posé à même le tapis, des Makuras (sortes de petits tabourets en bois rectangulaire ou carré sûr lequel sont posées des oreillers plat . Très populaire en oriant).

  Le Roi me fit signe pour m'indiquer la place à sa droite . À sa gauche, normalement devais siégé son conseiller. Mais après la mort mystérieuse et étouffer de son précédent conseiller et amis, il s'est refusé à en prendre un autre .

   Je l'observait à la dérobée. Il avait les traits tirés, l'air las et des poches énorme sous les yeux. Ses yeux noirs brillant étaient ternes et son teint d'une blancheur mortelle sans compter ses lèvres décoloré et presque inexistantes . Le blond vénitien de ses cheveux étaient strié de mèches grise que je n'avait jamais remarqué. Malgré toute la rigueur qu'il s'imposait, il semblait voûté. D'un coup j'avais l'impression d'être redevenue le petit garçon allant à la chasse avec son père. Même si j'ai grandi, je crois que j'avais toujours penser inconsciemment qu'il était imortel, qu'il serait toujours là . Le voir dans cet état m'a noué la gorge.
  Soudain, le poid de mes responsabilités firent jour dans mon esprit mais, je n'étais pas prêt je ne serai jamais prêt. Je n'étais pas même capable de conquérir la femme que j'aimais. Non non...il me reste trop à apprendre..

  La voix du Roi se fit entendre, tirant le jeune homme de sa torpeur.

  C'était le même timbre sûr et dominant . Grave et patient mais légèrement chevrotante sur les bords.
 
_  Je vous écoute. La séance est ouverte.

  Chacun des ministres présent avaient devant eux des papiers et documents relatifs à leurs fonctions. Ils se mirent tous à les consulter rapidement.

Whozangh, l'ambassadeur de kulaw en Chine commença . C'était un homme légèrement trapues à la démarche un peu chaloupé. Sa barbe de cinquante centimètres taillé à la Confucius lui donne un air de Grand Sage. Et il n'en a pas que l'air. Son ton, sa voix un peu fine ....tout en lui inspirait le respect.

Il dépliat un long rouleau sur lequel semblait écrit des notes importantes puis s'éclaircit la gorge avant de parler :

_ Sa primauté, je vous salue.
  
Le Roi hocha la tête en signe d'encouragement. Puis, il reprit.

... L'empereur de Chine vous envoie ses hommages. Il m'a fait escorté de deux cents chevaux Arabes purs sang, cinquante éléphants dressé portant chacun une vingtaine de bois d'ébènes traité.  Il offre à votre grandeur, cinq cents pile de tissus de soie fait à son intention par ses propres couturiers. Trois cent jeune hommes et jeune filles Bien fait pour vous servir, un coffre plein de Pierre précieuse, une statue de Lion tout fait d'or dont les dents sont en diamant et pour vous prouver sa sincérité et son soutien, il vous envoie son unique fille Cheyid umire celle que les japonais surnomment " Noboru taiyō no hōseki " : le joyau du soleil levant. Il la juge digne de votre attention et espère que vous en ferez l'une de vos favorites .

Un silence étranges figeat la salle jusqu'à ce que je roi lui fit signe de continuer.

  Il prit son inspiration à cet endroit avant de reprendre.

Outre ses nouvelles, les affaires sont florissantes, le commerce de la soie et l'exportation du coton de nos terres sont vraiment rentable ces dernières années . Les huiles produits par les habitants on gagné en popularité par delà les mers. Les commandes sont de plus en plus nombreuses. Les paysans, marchands, commerçants et artisans payent régulièrement leurs impôts. Et selon la loi, il versent les dix pour cent de leurs récoltes aux grenier du château.

   Il se tu et rangea son rouleau avant de déclarer :

C'est tout votre Altesse Royale .
 

    Hussein BEYNANA le ministre de la guerre pris la parole.
C'est un homme d'une quarantaine d'années taillé dans du roc.
  Ses yeux sombres et mystérieux en on fait fuir plus d'uns . Sa voix es d'un timbre limpide à l'image de son propriétaire.  Bien bâti, il es le Demi dieu inaccessible de toutes les damoiselles de la cour. Il portait son armure sans son  haume qui reposait près de lui sur la table.

Peinte à même la table, une carte de l'Afrique avec une vision plus détaillée des limites territoriales de kulaw, des territoires conquis et de ses vassaux sans omettre les camps mal répartis des brigands Nordiste et des quelques bédouins nomade.

_ Longue vie au Roi commença il.

   Son ton et le plis logée entres ses sourcils ne présagais Rien de bon .
  Après avoir placé des petits pions de bois à des endroits précis de la carte il continua :

  Je vous rapporte des nouvelles fort  inquiétantes Altesse....

   Quel es le Mal mystérieux dont souffre le Roi ??  Quel en es la cause ? Qu'adviendra il de la princesse Cheyid umire ? Les nouvelles du ministres de la guerre ... Que se passe t'il vraiment ?

  

 UNE TACHE DE SANG SUR LA COURONNEDonde viven las historias. Descúbrelo ahora