Her Majesty (Volturi Kings)

Chapitre 3

La neige commençait à coller comme Alice l'avait prédit avant qu'elle et son compagnon Jasper ne partent. J'ai été profondément attristée d'apprendre à mon arrivée à la résidence des Cullen qu'Alice et Jasper s'étaient enfuis pour une raison quelconque. Peut-être savait-elle qu'elle était recherchée pour son cadeau ? Mais je ne pouvais tout simplement pas me débarrasser du sentiment qu'elle était peut-être partie pour quelque chose de plus grand. Une chose qui nous toucherait tous plus que les Volturi ne le feraient jamais.

Mon cœur mort piquait encore à la mention d'Aro, et en fait, cela n'a fait qu'empirer lorsque les deux autres dirigeants, Marcus et Caius, ont été mentionnés. Qu'est-ce qui ne va pas chez moi ? Pourquoi me sentais-je de cette façon ? C'était comme si mon cœur manquait de trois pièces et essayait de les coudre ensemble mais échouant lamentablement.

Aujourd'hui, c'était la veille de Noël. Demain, nous allions rencontrer notre destin. Pour célébrer et nous rencontrer, nous avons marché jusqu'à une clairière où nous nous sommes tenus et nous nous sommes parlé, sans prendre la peine d'utiliser les bûches. Jusqu'à ce que Jacob intervienne.

"Pourquoi êtes-vous là comme des statues effrayantes ?" demande-t-il, regardant tous les vampires du regard. "N'allons-nous pas raconter des histoires de bataille ou quelque chose comme ça? Presque chacun d'entre vous a des centaines d'années, vous devez tous avoir une sorte d'histoire de combat."

Je me précipite vers Jacob et le tire sur la bûche avec ma force vampirique. "Nommez n'importe quelle bataille américaine après 1780. Garrett et moi étions là."

Jacob me regarde avec de grands yeux. "Vous êtes si vieux ? Pas étonnant que vous sentiez le cadavre." il lève les yeux pour voir des regards noirs.

"Ne t'inquiètes pas, c'est juste mon loup qui parle."

Je ris. "Ne t'inquiète pas, tu sens comme un chien mouillé pour moi. Et oui, j'ai 243 ans. Garrett a environ 256 ans. Quoi qu'il en soit, nomme n'importe quelle bataille américaine."

Jacob n'hésita pas. «Little Big Horn».

"A ça de mordre Cluster," dit Garrett en faisant un geste avec deux doigts pour montrer à quel point il s'était rapproché. "Mais les Indiens l'ont touché en premier."

"J'ai tué Benedict Arnold." Dis-je en prenant une gorgée de sang dans la tasse qui m'a été remise plus tôt. "J'ai également rencontré Marie-Joseph-Paul-Yves-Roch-Gilbert du Motier, le marquis de Lafayette, Alexander Hamilton et George Washington."

"Attends, comment ?" Demande Jacob en me regardant avec de grands yeux.

Je le regarde. "Benedict Arnold a blessé ma sœur aînée et il est devenu un retourneur. Quant aux autres, Garrett participait toujours aux batailles. Je suivais et ferais des tâches ennuyeuses qui m'avaient été assignées. Les femmes n'avaient pas le droit de faire beaucoup de choses en temps de guerre. Seulement certaines tâches, telles que la couture, la lessive, la cuisine et autres. Mais cela ne veut pas dire que je ne me suis pas battu. Bref, de retour sur le sujet, je suis tombé sur Marie-Joseph-Paul-Yves-Roch-Gilbert du Motier, le marquis de Lafayette, et oui c'est de mémoire, Alexander Hamilton et George Washington quand je faisais du travail au camp. Nous étions de très bons amis. Malheureusement, je n'ai pas pu leur révéler notre secret. Ce serait merveilleux de leur parler à nouveau. De plus, Marie-Joseph-Paul-Yves-Roch-Gilbert du Motier, marquis de Lafayette, était, comme les enfants le disent aujourd'hui pour décrire l'attractivité d'une personne, sexy. "

" Pourquoi dites-vous toujours le nom complet de Lafayette? ", Demande Jacob.

Garrett glousse. « Elle aime se vanter. Elle sait que ça m'énerve car je ne peux pas dire son nom complet. "

" Marie-Joseph-Paul-Yves-Roch-Gilbert du Motier, marquis de Lafayette. "Je taquine.

Garrett roule des yeux." La ferme! "

De plus en plus d'histoires de bataille ont été racontées et nous les avons écoutées attentivement. Kate a aidé à l'assaut d'Oleg sur Constantinople. Liam a parlé de la guerre de onze ans. Bientôt, presque toutes les histoires de bataille ont été racontées à l'exception des Roumains.

«Quand nous avons gouverné», raconte Vladimir avec son fort accent, «tout est venu à nous. Des proies, des diplomates, des chercheurs de faveur. Tel était notre pouvoir, mais nous ne mettons jamais de chapeaux blancs et nous nous appelons saints. "Nous avons été honnêtes sur ce que nous étions."

Stefan intervient, écartant largement ses bras. "Nous sommes restés immobiles pendant très longtemps; nous n'avons pas remarqué que nous commençions à pétrifier."

Vladimir prend son tour. Stefan baisse les yeux en souvenir. "Peut-être que les Volturi nous ont rendu service en brûlant nos châteaux."

Oh génial. Voici leur discours de vengeance, je pense. Je ne pouvais pas m'empêcher de me mettre en colère chaque fois qu'ils commençaient à mal parler des Volturi. Pourquoi n'ai-je pas détesté les Volturi pour ce qu'ils ont fait à mes amis ? Cela n'avait pas de sens.

Vladimir sourit. "Nous avons attendu plus de quinze cent mille ans pour rendre cette faveur."

Je roule des yeux et Stefan le remarque. "Qu'est-ce qui ne va pas, chère Amity ? Vous semblez ne pas avoir aimé notre histoire ?"

Je me lève et me dirige vers l'endroit où Bella et Renesmee traînent.

"Je n'aime pas le discours de vengeance. Nous sommes ici pour négocier, pas pour combattre." Dis-je en marchant.

Bella lève les yeux alors que j'entre dans la tente.

"Hey." elle me salue.

"Hé," je lui souris doucement. «Comment va la jeune Renesmee ?

Renesmee lève les yeux et sourit grand. "Nous lisons un livre!"

"Oh ?" Je m'assois à la façon de la compote de pommes.

"Quel livre ?"

"Chaperon rouge !" son sourire s'agrandit.

Je souris en retour. "Un classique."

Bella se lève. "Je vais voir Edward. Serais-tu d'accord pour la garder ?"

J'acquiesce. "Elle sera bien avec moi."

Bella hoche la tête et quitte la tente. Renesmee lève les yeux de son livre qui lui était lu.

«Pouvez-vous me lire ? »

Je lui prends le livre et le retourne dans sa direction pour qu'elle puisse voir les photos.

"Bien sûr."