Mon quota, c'est sacré

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" Fait chié ! "


Takuma, venait de franchir la porte de ta chambre, ses mains frottant ses yeux encore fatigués, des cernes présentent dû au manque de sommeil. Tu regrettais déjà d'avoir crié au point de réveiller ton fils.

Takuma : maman, qu'est-ce qui t'arrive à crier en pleine nuit, il est 2 heures du matin.

Tu tapotes légèrement le matelas au niveau de la place libre, invitant Takuma à te rejoindre, ce qu'il fit rapidement, s'allongeant à côté de toi. Tu le couvres doucement avec la couverture, faisant un bisou sur ses cheveux.

" Désolé de t'avoir réveillé. "

Takuma : tu as des problèmes, maman ? Ton premier jour ne s'est pas bien passé ?

" Chute~ non, ce n'est pas vraiment un problème, rendors-toi mon petit cœur. "

Takuma : maman ?

" Oui ? "

Takuma : je t'aime, je te protégerai si quelqu'un ose t'embêter.

" Mooooh"


Des petites étoiles apparaissent dans tes yeux, le petit dragueur, c'était si mignon que cela t'avais touché en plein cœur. Tu le prends dans tes bras en souriant.

" Tu es trop mignon, futur tombeur. Maman t'aime aussi, très, très fort. "


À ses derniers mots, tu refermas les yeux, la fatigue t'envahit enfin. Takuma ne prit pas longtemps avant de rejoindre également les bras de Morphée. Pourquoi avais-tu cette réaction ? Et bien parce que Megumi a gagné.

[quelques heures auparavant]


Le combat était rude, les 3 élèves attaquaient le fléau en même temps, ne lui laissant aucun répit. Satoru avait raison d'être optimiste sur leurs capacités. Ils étaient impressionnants, le mot était faible, ils étaient à l'image de leur professeur, exceptionnel.
Le fléau ne se laissa pas faire pour autant, mais seul contre eux 3, il était effectivement déjà mort.

Le pari de l'autre guignol te revient vite en tête, oubliant complètement tes fonctions de professeur, tu te mis à encourager Yuji, tel un supporter de foot, finalement, tu étais cinglé toi aussi. Tu étais parfois aussi irresponsable que Satoru.

" Aller Yuji, je crois en toi. "

Satoru : tutututu, n'espère pas trop, je connais mes élèves.

" Je ne t'ai pas sonné. "

L'action qui se déroulait sous tes yeux était bien plus importante que ce que te baragouiner ton adverse. Megumi se fatigua, te laissant une lueur d'espoir, Yuji bondis derrière le fléau, son point dégageant une quantité phénoménale d'énergie occulte. Tu souriais déjà en voyant arriver ta victoire puis une patte apparaît et arrache le cœur du fléau, le faisant disparaître.

" QUOI !? Il sort d'où celui-là ?! "


C'était le familier de Megumi qui avait donné le coup fatal comme l'avait prédit Satoru qui d'ailleurs, c'était mit à rire et à applaudir.

Satoru : Ooouh, bravo à moi-même, hihihi.

L'égocentrisme de cet homme te surprendra toujours.

Gojo Satoru : L'enfant caché [Tome 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant