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Je me laisse donc tomber sur le banc alors qu'il reste poster devant moi et que Didier m'apporte une bouteille d'eau.

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Didier : Alors on n'a plus le même cardio qu'il y a quelques années. Benjamin va aux étirement avec les autres je vais la surveiller. Guy tu peux les surveiller ?

Moi : (prenant la bouteille d'eau et lui montrant ma cheville) En même tant ça n'a pas aidé de me casser la cheville il y a 1 an et demi...

Didier : Ouais mais quand même t'avais repris le chemin des pistes ?

Moi : Pas très longtemps... J'ai repris au beau milieu de la saison j'étais en plein décrochage.

Didier : Ca te dis de reprendre avec le groupe ? De temps en temps on programme des séances de courses si tu veux tu peux y participer.

Moi : Je sais pas déjà voir comment je vais me remettre de cette séance !

Didier : Comme tu veux mais si besoin, tu le dis. Allez ici tu peux déjà venir t'étirer avec nous ça t'évitera de marcher comme une mémé cet après-midi ou demain matin.

Moi : (en me relevant) Je peux déjà te dire que je risque pas de travail cet après-midi sauf si tu me laisse aller faire un tour dans la piscine pour détendre tout ça.

Didier : (en me donnant une tape dans le dos) Tu auras même droit à un accès au sauna et au jacuzzi...

Moi : Si c'est ça je viendrai plus souvent courir !!!

Didier : Allez prends un tapis et étire-toi puis tu peux aller dans ton bureau !

Je prends un tapis et me mêle au groupe pour une séance de torture extrême enfin surtout pour moi, les garçons ne semblent même pas ressentir une once de douleur. Mais comment ils font, moi je suis là j'ai qu'une envie c'est de crier de douleur, je n'arrête pas de grimacer de douleur sous le regard amusé de Benjamin.

Benjamin : (sourire aux lèves) J'en connais une qui va bien manger et dormir du reste de la journée...

Moi : J'ai pas le droit de dormir, j'ai du boulot monsieur...

Benjamin : C'est ce que l'on verra !

Je lui tire la langue en tournant la tête vers lui et c'est à ce moment-là que je perds l'équilibre de ma position latérale. Et aller je m'étale comme une grosse merde en me réceptionnant sur mon bras. Je crie de douleur alors que tout le monde se retourne vers moi alors que des larmes me montent aux yeux et que Didier ainsi que le staff médical arrivent près de moi.

Didier : Aurora, ça va ?

Moi : Mon poignet p****n ça fait mal !!!

Didier : Bouge pas l'équipe va te prendre en charge... Tu restes calme surtout !!!

J'hoche de la tête et me mords la lève de douleurs tout en ayant des larmes aux yeux. Le médecin arrive regarde mon poignet avant de m'aider à me relever pour me ramener au château. Je me tiens le poignet de douleur et quitte donc le terrain et toute l'équipe pour rentrer à l'intérieur. Directement, on m'emmène dans le local de soins et Franck vient se mettre devant moi l'air désespéré.

Franck : Bon miss si tu pensais te montrer toute mignonne vendredi devant les photographes c'est mort.

Moi : Ah non ne me dis pas que je vais me taper un plâtre ?

Franck : Non mais au moins une attelle et si tu la tiens correctement peut-être que vendredi je t'autoriserai à la retirer le temps de la soirée...

Moi : Vraiment ?

Ensemble quoi qu'il arrive [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant