Oops! This image does not follow our content guidelines. To continue publishing, please remove it or upload a different image.
Le mois de juillet touchait bientôt à sa fin.
Les semaines étaient vite passées.
Pourtant ces derniers jours n'ont pas étaient de tous repos.
J'ai travaillé beaucoup plus que d'habitude sans Elisabeth qui s'était blessée à la jambe.
D'ailleurs elle avait décidé d'être distante avec moi sans vraiment me dire pourquoi.
Vous dire que je n'ai pas été affecté serait mentir. Cela m'a fait quand même un peu de peine qu'elle s'éloigne de moi, mais il faut croire qu'on était pas vouée à échanger toute les deux jusqu'à la fin de nos vies.
Elle avait même décidé de changer de chambre.
Je me retrouvais donc seule, avec une nouvelle qui venait de débuter en tant que cuisinière, Daniela.
Enfin, la matinée venait de commencer. À peine sorti de la douche, Fanny cria mon nom pour m'occuper des lits.
Je n'avais le temps ni de sécher mes cheveux ni de faire mon chignon et elle s'en fichait pas mal aujourd'hui.
Manon - Alizée tes cheveux gouttent sur tous le sol.
Elle prit une serviette et la posa du ma tête.
Je fis du mieux que je pus et tenta un chignon rapidement.
Charles - Bonjour Alizée.
Je le salua avant de passer devant lui.
Je commença par le chambre d'Adelaide et Charles.
Aérer la chambre, faire le lit, passer un rapide coup d'aspirateur et de chiffon.
La même routine, jours après jours.
Je m'apprêtais à commencer une seconde chambre lorsque j'entendis un cris strident.
Julie - Il faut appeler les urgences !
Le petit Lucien, fils de Julie et Sébastien semblait a priori saigner du nez.
J'ai ri intérieurement pensant que cela serait absurde de se déplacer à l'hôpital pour un simple petit saignement du nez.
Comprenez mon amusement, une famille composée entièrement de médecins, qui réagit au quart de tours pour un saignement de nez.
J'ai alors fait signe à Fanny que j'étais capable de m'occuper de ce petit incident
Fanny - Madame, Alizée peut s'en occuper.
Tous surpris ils tournèrent leur regard vers moi et sous l'autorisation d'Adélaïde je m'avança vers l'enfant.
