~Revive yourself~

~Chapitre 2~

1 an plus tard :

C’est aujourd'hui.

J’ai 17 ans aujourd'hui.

Une bougie, un nombre, un chiffre, un âge, une années.

Ce n'est pas le pire jour de ma vie étant donné que je suis coincé ici depuis 3 ans.

Je suis dans une pièce blanche mais assez sombre, au centre, il y a des tapis en mousse pour les combats au corps-à-corps. Sur toute la surface du mur de gauche, il y a des miroirs.

Plus loin au fond de la pièce se cacher un fin couloir...

La salle de tirs, des armes, des cibles et encore des armes.

Il y a quelques personnes, ça  c’est agrandi en quelques mois. 

Ils ont recruté des débutants... Les pauvres. Ils ne savent même pas se servir d’une arme.

Moi, je me suis mise dehors pour le tir à l’arc. 

Pour ne pas que je m’échappe, ils m’ont mis un genre de colier électronique qui envoie des décharges si je tente encore quelques choses.

Simple mesure de précaution comme ils disent...

Je décoche la flèche.

Dans le mille.

Encore.

Mais plus de souvenirs. 

Avant, j’avais mes souvenirs qui revenaient et malgré tout m’aider à tenir. 

Maintenant je n’ai plus rien, j’ai mes anciens souvenirs, mais pas tout, il manque des bouts.

Le vide, je ne sers plus qu’à tué. 

Une machine de guerre. 

Un monstre.

Ils avaient dit ne plus me faire du mal si je faisais ce qu’ils voulaient.

Mais non.

Ils ont menti. 

J’ai été naïve de les croire. Ils sont continués à me pousser à bout et me violer.

Je décide d’abandonner le tir à l’arc. À quoi bon, je l'ai mets toute dedans...

Je marche sans vraiment savoir où je vais dans les couloirs ou dans chaque salle à son utilité.

 S'ils ne me font pas du mal, que je ne m'entraîne pas ou même en mission..

Je m’ennuie, je perds la tête. 

Le pire... Je tourne en ronds.

Je ne sais pas qui je suis, je n’ai pas d'avenir, ou de ce que je vais devenir. Encore des questions sans réponse.

Une salle m’attire plus que les autres, à l’intérieur, il y a du bruit. Quelque chose qui frappait fort le mur et la porte vitrée devant laquelle je me dirige.

J’arrive à la hauteur de celle-ci.

Je le vois.

Tous se mélangent et se bousculent dans ma tête.

-Alors il y en a d’autres ? Dis-je à voix haute.

J’en avais entendu parlé entre prisonniers, dont les ’’soldats’’ qu’on était ne leur suffisent plus, et qu’il leur fallait plus, toujours plus.

Ils ont trouvé.

-Mais tu es quoi au juste? 
Chuchoté-je.

Il est grand, blond, un corps bien sculpté, des bras, des jambes.