6.Le sauvetage

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Jack se réveilla de bonne humeur ce matin, content d'avoir retrouvé son beau-frère et d'avoir un nouveau chez lui.
Il avait dormi dans le salon, sur un petit canapé assez désagréable, du fait qu'il soit dur comme la pierre.

Mais cela ne l'avait pas empêché de dormir : il était très fatigué à cause de sa nuit précédente.
Comme tout le monde semblait dormir, Jack décida de se lever pour retrouver Arthur, qui devait sûrement déjà être à la boutique.

Il enfila la chemise blanche et la veste en jean, que lui avait acheté son patron, se passa un coup de peigne et sortit de l'appartement à pas de loups.
La librairie n'était qu'à quelques mètres de la colocation.

Quand Jack entra dans le magasin, il trouva Arthur, qui rangeait des livres dans des étagères.
Jack : Bonjour Arthur !
Arthur, un peu déséquilibré par l'arrivée de Jack, manqua de tomber de son échelle.

Arthur : Jack ! Je ne t'attendais pas de si tôt ?! Mais dis moi, où as tu donc dormi ?
Jack lui expliqua ses retrouvailles avec son demi-frère, tout en l'aidant à descendre de son échelle.
Arthur : C'est formidable ! Tu as de la chance d'avoir un frère.

Jack: Vous n'en avez pas ?
Arthur : Si, j'en avais un...
Jack sentit qu'il touchait un sujet sensible et changea le sujet de la conversation.
Jack : C'est le week-end demain, vous savez ce que vous allez faire ?

Arthur : Oui, je pense que je vais aller chez ma mère. Cela fait longtemps qu'elle n'a pas vu Lily.
Un client entra dans la boutique, ce qui les interrompit.
Jack : Bon, je pense que je vais y aller, on se voit à 16h30.
Arthur salua Jack avant de s'occuper de son client.

Le reste de la matinée fut assez calme, William et ses amis firent visiter à Jack les meilleurs coins de New York.
Notamment, le quartier riche, où les maisons, plus grandes les unes que les autres, défilées sur un rayon de 2 km.

Quand ce fut l'heure de prendre le relai à la librairie, Jack s'installa dans l'arrière boutique, il n'y avait pas beaucoup de clients cet après-midi.
Il choisit un recueil de poésie ( sa nouvelle passion ), se posa sur le canapé tout en gardant un œil sur le magasin.

***

Quand la nuit tomba, et que l'heure de fermer la boutique était proche, Jack aperçu une silhouette féminine, entourée d'autres silhouettes plus imposantes qui semblaient l'embêter.
Il jeta sa cigarette dans la poubelle et enfila sa veste, avant de sortir dehors pour s'assurer que la femme n'était pas en danger.

Mais, à peine sortit, Jack entendit des cris provenant de la ruelle d'en face, il accourut alors vers la jeune femme en détresse, qui se faisait toucher par deux hommes.
Jack assomma le premier par derrière avec une barre de fer, qu'il avait trouvé dans la rue, et vînt s'interposer entre la belle jeune femme et son agresseur, qui faisait deux têtes de plus que lui.

Jack : Sauvez-vous !
Jack eut à peine le temps de se retourner, qu'il reçut un coup de poing dans le ventre et se retrouva par terre.
La jeune femme en profita pour se sauver, ce qui ne ravit pas l'agresseur.

Son ami, commençait à reprendre ses esprits, alors que Jack ne se remettait toujours pas du coup qu'il avait reçu.
Agresseur : Tu vas crever toi !
Jack ferma les yeux, prêt à recevoir le coup fatal.

Il aperçut Rose, dans une belle robe de soie pourpre, elle semblait heureuse de le revoir.
Rose : Jack ! Tu m'as manqué !
Elle lui tendait la main, tout en le rassurant.
Rose : Ne t'inquiètes pas, nous allons bientôt être réunis.
La main de Jack touchait presque celle de Rose, quand cette dernière disparue, laissant place à la jeune femme qu'il avait sauvée.

Jeune femme : Monsieur ! Réveillez-vous, je vous en supplie !
Jack ouvrît les yeux et se retrouva dans une chambre, aux mûrs décorés par des motifs dorés et dont les meubles, de la petite table de chevet à la grande armoire, étaient raffinements sculptés dans un bois foncé, comme ceux qui meublaient autrefois le Titanic.

La jeune femme lui tapotait son arcade sourcilière, qui avait été ouverte, avec un mouchoir remplit de glaçons.
Quand elle vit qu'il avait reprit connaissance, elle lâcha un soupir.
Jack : Je ne suis pas mort ?
Jeune femme : Non, j'ai prévenu la police, elle a arrêté ces deux malotrus !

Jack : Vous n'avez rien ?
Jeune femme : Non grâce à vous...Je n'ai pas encore eu la chance de vous remercier, monsieur...?
Jack : Jack Dawson. Ce n'est pas la peine.
Jeune femme : Oh si j'insiste ! Si il y a la moindre chose que je puisse faire pour vous ?

Jack sourit.
Jack : Commencez donc pas me donner votre nom.
La jeune femme rigola.
Jeune femme : Je m'appelle Victoria Dalmar.

Voilà pour ce chapitre !
J'espère qu'il vous a plus ❤️
Il était un peu plus court que les autres, notamment à cause de CamChaton08 qui m'a un peu pressée 🤪, mais il contient un élément déclencheur 🤫
Je m'excuse encore une fois pour l'attente, mais je ne suis pas très active en ce moment🙃
A très vite 😘

Emlove2018 ❤️❤️❤️❤️

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