Club 27... [Levi x Male!Reader]

Chapitre 7 : Club Violence...

=====
(T/p), dans le bureau de Levi.
=====

Je fais la poussière sur la table du Caporal, qui n'est pas revenu de sa réunion depuis des heures.

Je me sens comme une putain de femme au foyer.

Je regarde les quelques documents triés sur la table et hausse un sourcil en voyant un article de journal, focalisé sur Vanitas.

"Comment ça se fait que ce soit le boss Levi Ackerman qui m'ait guidé vers la musique ? Mais c'est très simple mes chers amis ! On a un lien de parenté ! Un peu lointain, certes, mais tout de même ! Vous ne voyez pas l'air de ressemblance ? Comme des cousins troisième degré !"

Je hausse les sourcils.

Cousins ?! Levi et son grand coeur et...Vanitas, l'enfant à problèmes ?! Doux Jésus...

Je m'assois sur le siège du Caporal, haussant les sourcils face à tant de confort. Je souffle et souris, m'imaginant les pires conneries sur ce fauteuil de bureau.

Je sais qu'il serait bien si je lui faisais une pipe sous cette table... Ou s'il me soulevait ici... Ou sur le bureau... Il a l'air noble et confort le bureau... Même si j'adore son lit... Chaud et doux comme lui... Et confortable... Je pourrai pas m'en passer si facilement.

Je mets la tête entre mes bras et ferme les yeux.

Une pause s'impose...

=====
(T/p), le soir-même.
=====

Je me réveille en sursaut en entendant un gros bruit. Je grimace et me frotte les yeux, remarquant que je suis dans le bureau de Levi. Je tangue en me levant et ouvre la porte, tombant sur le noir le plus profond.

Y'a pas de lumière... Il fait si nuit ?

Je tape sauvagement sur la lumière contre le mur et crie en voyant Levi en train d'agoniser contre le mur :

— OH DIANTRE !

— Crie pas bâtard de mes deux... Aide-moi...

— Mais tu saignes abondamment là.

— Jure j'avais pas remarqué...

Il grimace en posant des yeux fatigués sur moi.

— J'ai de quoi soigner dans ma salle de bain... Aide-moi à y aller...

— Mais t-

— Je t'explique après...

Je hoche la tête et passe le bras de Levi sur mes épaules avant de le porter. Il grogne en boitant vers sa chambre. Je le serre et entre dans la pièce à vivre avant de le laisser se traîner jusqu'à la salle d'eau. Je ferme et le rejoins. Je sors tout ce qui pourrait l'aider à se désinfecter les plaies. Il se pose sur le lavabo et ouvre sa chemise, dévoilant une coupure profonde et des abdos luisants. Je me mords la lèvre en le reluquant, un sourire sur les lèvres. Je suis réveillé par une tape sur la tête.

— Putain t'as de la force pour un fils de pute blessé...! Me plains-je.

— Arrête de me mater et soigne-moi...

Il a du mal à tenir. Je me dépêche de lui mettre le désinfectant. Il siffle et met sa main sur la mienne quand je pose la compresse pleine d'alcool sur sa coupure.

— Oups ?

— Continue...

— Tu aimes la douleur ?