Chapitre 1 Norvège

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Dédié à Pastelounette

Comme on le sait tous : toutes les plus belles histoires d'amour finissent mal. Tiens ça me rappelle une chanson.. mais je m'égare... On se demande pourquoi d'ailleurs ça ne donne pas le bon exemple. L'amour est une dague, une garce cruelle je dirais. Je m'appelle Mikaela Mickaélis, alias Mika mes parents attendaient un garçon « Mickael » mais je suis arrivée à sa place. Mes parents ont divorcés quand j'avais 6 ans. Pas à cause de l'amour mais à cause leur travail, ma mère est française et elle est directrice d'un Musée et mon père est flic à N-Y. je passais 6 mois en Amérique et 6 mois en France. Je parle parfaitement mes deux langues maternelles quoi dire de plus à mon sujet, j'ai les cheveux noirs bouclés, les yeux bruns, fan de musique pour ne pas dire obsédée par ça. A 15 ans j'ai été sélectionné pour un voyage d'un an. Je suis tombée sur la Norvège. 12 mois là-bas, la seule chose que j'apprécie dans ce voyage c'est le froid, adorant l'hiver. Mais je ne savais pas que mon destin aller s'y jouer

Ça faisait 3 mois que j'étais ici, je n'avais pas d'amis, je parlais à quelques filles mais sans plus je ne voulais pas m'attacher puisque je ne les verrais sans doute jamais je ne préférais pas me lier, je préférais rester dans mon coin avec ma musique et un livre. Je ne résidais pas au dortoir ni chez des habitants, ma marraine Aurore une artiste peintre est venue ici pour s'inspirer profitant que je devais y aller pour s'installer 1 an avec moi. Elle a pris une jolie petite maison non loin de l'académie. Je venais en roller. Les autres aimaient me parler parce que je suis « franco-américaine » une étrangère plutôt jolie que certain voudrait se faire mais je ne suis pas un trophée. Je me suis pris une heure de colle le jour de mon arrivée pour avoir frappé un mec. Je n'avais pas du tout aimé ce qu'il m'a dit et je sais parfaitement me défendre l'avantage d'avoir un père flic se sont les cours de défenses, ils me prenaient pour une idiote qui ne parler pas leur langue alors je lui ai fait une prise et je l'ai bloqué au sol sous les rires des autres. Du coup il y a ceux qui m'admire et ceux qui me traite de garce et de faire mon intéressante.

Comme toujours le lundi pendant le cours de français je n'écoute pas, j'étais presque dispensée du cours, j'aidais même le prof ce qui m'attire les foudres de certains mais je m'en fiche d'eux complètement, je lisais mon livre. Et le directeur entre avec un garçon. Il était grand, des cheveux noirs, des yeux verts, son regard était perçant. Il avait l'allure d'un lycéen mais semblait plus mature.

 Il avait l'allure d'un lycéen mais semblait plus mature

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· Voici Loki Odinson il va passer l'année avec nous. Faites lui un bon accueil

Comme dans les livres ? Ses parents ont un drôle de sens de l'humour. J'ai eu l'impression qu'il avait entendu mes pensées, il m'a regardé, j'ai eu l'impression que ces yeux verts ont transpercé ma carapace. Il est ensuite venu s'assoir à ma droite. La dernière place de libre. Je ne lui ai pas prêté attention. Ce mec était un intello, il répondait à toutes les questions comme si les réponses étaient trop facile. En sport il avait de l'endurance et de la force. Les filles bavaient à son passage, certains garçons ont essayé de l'intimidé mais ça n'avait aucun effet sur lui. La semaine s'est passée comme ça. Pendant le déjeuner vendredi, j'étais dans le parc assise à l'ombre lisant mon livre et je sens un regard. Je l'ai senti toute la semaine dernière. Je lève mon regard de mon livre pour voir des yeux verts

· Tu n'as pas d'amis ? (dit-il)

· En quoi ça te concerne

· Tu es une Midgardienne solitaire et intéressante

· Midgardienne ? tu parles comme un

· Dieu. Je suis un Dieu d'Asgard

· Ouais, ouais c'est ça...

J'avais envie de le frapper mais il s'est mis à rire et je ne sais pas pourquoi je me suis mise à rire. La cloche sonne. On va en cours, il s'installe toujours avec moi. A la fin de la journée il me suit vers les casiers. Je range et prend mes affaires et je mets mes rollers

· Tu ne dors pas ici toi je ne t'ai jamais vu dans l'aile des dortoirs? (dit-il)

· Non je vis avec ma marraine à 20min d'ici.

· Tu as de la chance. Les dortoirs sont petits et je dois partager ma chambre avec 5 autres garçons

· Tu t'attendais à quoi ? (léger rire) Ah oui tu es prince tu es habitué à certaine chose

· C'est ça tu ne me crois pas

· Pas le moins du monde mais tu es drôle. (dit-elle)

Elle avance avec ces rollers

· Bon weekend Loki

· Toi aussi Mika

Les mois qui suivirent Loki et Mika sont devenus inséparables. Ils ne faisaient rien de spécial ils aimaient le silence et lire. Loki lui parlait d'Asgard même si elle ne le croyait pas, il devait seulement être un passionné. Et elle lui expliquait les coutumes comme Halloween et Noël.

· On fête Noël mais pas comme vous. On offre des présents et on fait la fête toute la nuit.

· Tu rentres chez toi du coup ?

· Non je suis toujours puni. Je ne rentrerais à Asgard que dans 8 mois

· Ça passera vite... Tu es le bienvenu chez ma marraine et moi... à moins que tu ne veuilles rester ici pendant les 4 semaines de vacances

· Oh pitié non... merci pour l'invitation.

Sa marraine Aurore l'appréciait. Il avait une bonne éducation et des manières élégantes qui l'amusé. Pour Noel il ne lui avait rien prévu ce qui ne la dérangeait pas et elle lui offrit un conte nordique « Légende d'Asgard »

· Tu me diras ce qui est vrai

· Avec plaisir... même si tu ne me crois pas (dit-il avec le sourire)

Pendant les vacances, elle lui avait appris à faire du roller mais ce n'était pas son truc, il préférait lire ou la regarder. Il avait constamment un œil sur elle

· C'est une honte !!

· Quoi ??

· Je ne suis pas marié et je n'ai pas une ribambelle d'enfant !! encore moins de créature

· Ah ouais ?

· Certes j'ai participé à la création de Sleipnir. Je m'entraînais à des sortilèges qui ont touché une jument qui a mit bat un cheval avec 8 pattes...

Elle l'écouta parler des différentes légendes. Il aimait parler de sa mère. Mais pas de son père ni de son frère. A la rentrée ils ont repris leur habitude. Des rumeurs disaient qu'ils sortaient ensemble alors pour les fourvoyer il passait souvent son bras sur ses épaules ou sa taille. Ils rigolaient devant les regardes jaloux des autres. Mais parfois elle rougissait, il était plus proche. Elle s'embrouillait elle-même mais elle ne devait rien laisser paraitre car oui comme une idiote elle était tombée sous son charme

Le Prince de la MaliceWhere stories live. Discover now