𝙘𝙝𝙖𝙥𝙞𝙩𝙧𝙚 𝙙𝙞𝙭

226 26 108
                                    








˗ ˏ ˋ ✩ ˎˊ ˗

˗ ˏ ˋ     ✩      ˎˊ ˗

Ups! Ten obraz nie jest zgodny z naszymi wytycznymi. Aby kontynuować, spróbuj go usunąć lub użyć innego.

𝟏4 𝐟𝐞́𝐯𝐫𝐢𝐞𝐫 𝟐𝟎𝟏𝟐

Ups! Ten obraz nie jest zgodny z naszymi wytycznymi. Aby kontynuować, spróbuj go usunąć lub użyć innego.

𝟏4 𝐟𝐞́𝐯𝐫𝐢𝐞𝐫 𝟐𝟎𝟏𝟐

𝟏𝟕:𝟑𝟖

𝐄́𝐓𝐎𝐍𝐍𝐄́𝐄 d'entendre le son de sa sonnette résonner dans l'espace, Oyakawa se dirigea vers la porte de son appartement, traversant la petite pièce à vivre pour tirer la poignée. Devant elle se trouvait la personne qu'elle attendait le moins aujourd'hui, encore moins à cette heure-là.


—  Ken ? Qu'est-ce que tu veux ? elle lui demanda, pendant qu'il la suivait à l'intérieur de l'habitacle.

—  Tu m'as pas dit que tu voudrais voir la fête foraine qui passait cette semaine ? répondait le noiraud, le regard balayant la pièce, dans l'unique but d'esquiver celui de son amie, qui s'illuminait dans son dos.


     Quand il entendit la jeune femme acquiescer, il se tourna vers elle pour découvrir un sourire sur son visage. Un sourire si contagieux que Ken ne put s'empêcher de l'imiter plus timidement. Il posa sa main sur la poignée de la porte et fit signe à Oyakawa d'enfiler un manteau pour sortir.

     À la hâte, elle partit enfiler un épais sweat avant de revenir, sacoche à la main dans laquelle elle rangeait argent et téléphone portable.

     Une paire de sneakers aux pieds et manteau chaud sur le dos, ils étaient déjà en train de dévaler les escaliers pour rejoindre la moto du noiraud, laissée sur le trottoir en bas de l'immeuble de la brune.

Ladite fête foraine était à une vingtaine de minutes de route de chez elle, mais la circulation dense risquait de quelque peu rallonger leur trajet, qui se faisait sous le vent froid de février. Car bien que l'ambiance rose de la ville embrumait leurs esprits d'une chaleureuse odeur sentimentale, les températures n'étaient pas décidées à suivre cette chaleur qui se propageait dans les cages thoraciques tout autour d'eux.

À cette simple pensée, Oyakawa sentit une douce chaleur traverser son corps pour terminer dans ses joues. L'une d'elles collée au dos de son ami, ses bras autour de sa taille, cherchant à se réchauffer face aux températures glaciales, elle sentait la respiration du tressée. Calme et apaisée, elle sentait cependant qu'il lui arrivait de reprendre son souffle dans une grande et longue inspiration, cette respiration en disait long sur l'état du jeune homme devant lui. Il se montrait calme et serein, mais un stress l'envahissait en réalité.

𝐓𝐑𝐄𝐈𝐙𝐄Opowieści tętniące życiem. Odkryj je teraz