« un sourir »

1.2K 77 2
                                    

Au diable. De qu'elle droit ce permet t'elle de juger un homme qui plus ai, son frère. Je suis sidérée par la tournure de cette conversation. Elle le déteste c'est certains mais pourquoi l'accuser d'un tel crime.
Je ne sais pas où mon esprit me guide mais une direction m'attire. Trop perdu dans mes pensées je n'avais remarquée que j'étais sortie à l'extérieur de la tour. Cette tour qui me tiens prisonnière et libre à la fois. Le monde vis. Des enfants joue au ballon un peu plus loin, des marchands vendent des produits. Le soleil tapent fort à cette heure ci. Nous sommes au alentours de midi, je pourrais rentrer déjeuner mais non... je veux découvrir ce lieu. Cette ville Polis.  Alors je m'avance, sans aucune peur non seulement le désir de découvrir.

Un ballon arrive à mes pieds. Un petit garçons au cheveux long brun. Des yeux noir comme la nuit. Il n'est âgé de seulement 6printemps je pense. Il me sourit avec ses quelques dents que son âge lui permet d'avoir. Je lui sourie en retour. Je m'agenouille et récupère ce ballon. Je lui tend, il le prend sans aucune crainte et me dit « Mochof » avant de partir en courant en direction de ses amis.
Après cette étrange moment mais qui restera gravée dans ma mémoire je décide d'arpenter le marché. Différentes odeurs chatouille mes narines. Le parfum de ce lieu est agréable contrairement à la cour de France.

-Clarke !

Mon nom est crié parmi toutes les voix qui m'entoure.
Je reconnais Anya courant dans ma direction. Elle arrive à ma hauteur et me salue.

-Clarke que fait tu la ? Me demande t'elle inquiète.

-J'avais envie de découvrir le village. Je lui avoue...

-Veux tu que je t'aide à t'orienter et traduire ? Me demande t'elle en souriant avec bienveillance.

-Ca ne serais pas de refus. Je ricane légèrement.

Nous avançons tranquillement parmi nos semblables. Elle m'explique la culture de son peuple avec temps de fierté dans la voix.

-J'aime partir m'évader dans les bois et chasser.

-Ce la ne m'étonne pas de toi. Je lui confie.

-J'espère que notre peuple ne te fera pas fuir.

-Je mis plais bien et je doute que retourner en France me comblerais.

-Avec Lexa tout ce passe bien. Me demande t'elle en s'arrêtent devant un marchand.

-C'est compliquée....

Nous avons même mangées des aliments emblématiques d'ici. Un agréable moment. Elle est d'une sympathie que je n'aurais jamais crue. Elle ce cache seulement derrière une carapace qui cache réellement son vrai visage.

Page 30

Tu seras mienne (clexa)Where stories live. Discover now