In love with Cristiano

Belle de nuit

PDV de Sarodj

OMG! J'embrasse Cristiano Ronaldo!
C'est la dernière chose à laquelle je m'attendais cette nuit.
Toute la nuit j'ai senti une sorte de tension entre nous. Tantôt il s'approchait, tantôt il s'éloignait.
J'ai pas pu m'empêcher de flirter avec lui en retour.
Mais ce baiser était inattendu. Et il ne me déplaît pas du tout.
Je me mets sur la pointe des pieds tout en retenant ses cheveux afin d'approfondir notre baiser.
La reponse fut immédiate, il m'embrasse comme si sa vie en dépendait.
Si on m'avait dit il y a quelques heures que je serais chez Cristiano cette nuit, accrochée à ses hanches en train de lui rouler une pelle, j'aurais ris au nez de cette personne.
Il passe ses mains sous mes fesses puis les presse.
Contre mon intimité, je sentis son erection. J'eus un violent coup dans le bas ventre qui me donnait envie d'onduler des hanches.
Sentant mon état, il me depose sur quelque chose de confortable.
J'étais tellement distraite par les sensations qu'il me procurait que je m'étais pas rendu compte qu'on etait dans une chambre.

Mais j'étais sûre qu'on avait pas quitté le sous-sol.
J'aurais su quand on monte les escaliers.
Mais je chassais vite cette pensée de ma tête pour m'occuper de ce que me demandait mon corps.
Et il voulait Cristiano.
Son erection titillait mon entrejambe, ce qui augmentait mon impatience.
Voulant retenir un gémissement, je lui mord sa lèvre inférieure,puis vais jusqu'à son oreille, je pris une lobe que je mordille doucement.
Je l'entendis grogner de desir.
Il se détache de moi tout en me regardant droit dans les yeux, il souleve mes hanches puis retire mon pantalon et ma culotte tout doucement.
Il y avait une telle sensualité dans ces gestes.....
Bien que je voulais le sentir en moi, je n'eus pas la volonté de lui parler pour demander qu'il se presse.
Je me contentais juste de cette conversation muette.
Heureusement lui aussi etait impatient. Je le sentais par ses tremblements.
J'avais tres envie de le toucher pendant ce temps là mais il portait toujours ses vetements alors je lui fait passer sa chemise par sa tête.
Il se retrouve torse nu devant moi.
Je me mis à genoux sur le lit pour pouvoir être à sa hauteur et caresser ses abdos, ensuite je descend jusqu'a son pantalon que je detache et fait baisser sur ses genoux.
Il portait un boxer blanc qui n'arrivait plus à contenir son sexe. Je le pris dans mes mains et commence à faire de lents va et vient avec.
Je léve la tête pour jauger sa réaction. Il avait la bouche entrouverte et la tête penchée en arrière.
Au bout d'un moment, il se mit à gemir bruyamment et d'un coup, il enleva ma main et me soulève en passant ses mains derrière mes cuisses. Il me positionne sur le bout de son gland puis me penétra d'un coup sec.
Il se mit à bouger lentement pour me faire habituer à lui. Sauf que j'étais trop excitée pour ces formalités.
Je planta mes ongles dans son dos et le griffe pour lui faire accélérer ses mouvements.

On aurait dit qu'il savait ce que je ressentais au fond de moi.
J'étais comme sa marionnette. Il se bougeait et moi je faisais inconsciemment ce qu'il voulait que je fasse.
J'eus beau me battre contre mes gémissements mais c'était impossible à contenir. Et il me semblait qu'il voulait les entendre.
Alors je lachai prise et commencai à crier de plaisir.
Plus je gémissais, plus il allait vite. On aurait dit qu'il était télécommandé avec mes cris.
À mesure qu'il me pilonnait, il répétait des mots incompréhensibles.
Puis ses mouvements se firent lents, il se retire et me depose sur le lit, il se couche sur mon corps et me pénétre a nouveau.
Il place mes jambes sur ses épaules pour avoir un meilleur accès mais au lieu de bouger il resta là bien au fond, appuyé contre le plafond de mon vagin.
Je voulais onduler contre lui mais il retenait mes hanches fermement. C'est alors que je sentis un feu parcourir mes veines et un frisson disperser dans tout mon être.
J'eus envie de hurler mais il me cloue le bec d'un baiser langoureux.
Ce n'est qu'a ce moment-là qu'il se remit à bouger, très lentement de facon à frotter le point contre lequel il venait d'appuyer.
Dans ma tête il y avait un opéra, des feux d'artifices, un classico serré entre le barca et le Real, un concert de rock, un tsunami. Je suis passée par toutes les émotions en seulement une minute.
Puis il eut une explosion!
Je me mit à trembler comme une feuille contre Cristiano alors que lui accélérait ses mouvements. Puis tous mes muscles se contractèrent et mon corps se mot à bouger de lui-même comme si on avait utilisé un défibrillateur.