close to death

5. La nouvelle

PDV Lina.

- Qu'est-ce qui c'est passé Lina ? Ta dormi dehors ou quoi ?

La seule chose que je voulais était qu'elle ne me remarque pas. C'est raté.

- Ta gueule Frankie.

- Oh mais c'est ps très poli tous ça. Pas du tous même. Dit-elle. Tu sais, j'ai penser à un truc. Toute les deux, au final, on se déteste pour rien enfaîte. Car on a jamais vraiment fais connaissance. On pourrait essayer d'être amie toute les deux.

Elle me dégoûte. Elle me prend vraiment pour une grosse conne. Je fais comme si je n'avais pas entendu ses cher copine ricaner comme des bécasse dans mon dos

- Rien à foutre. Je lui sors. Fou moi la paix.

- Pourquoi es-tu aussi agressive ? J'essaie de faire un effort, moi.

- Ok. Mais tu sais, les effort c'est pas trop mon truc.

Je m'en vais. Elle lance un petit cri de frustration. Et lance:

- De toute façon c'était pas vrais. Jamais je deviendrais amie avec une mocheté comme toi.

- D'accord. Je lui répond sans me retourner.

Je rentre dans le lycée l'image de Hardin en tête.

- Lina Martin est demander dans le bureau de la proviseur, je répète, Lina Martin merci.

Putain. Je ne sais pas ce qui se passe, alors je vais dans mon endroit favori. Le 2e étage. Il est calme, il n'y a pas trop de circulation, je peux faire se que je veux ect...

DRING

C'est l'heure d'aller à mon cours de français.

Je me dirige vers la salle la salle, quand je croise Frankie et sa bande dans le couloire. Je fais vite demi tour, et vais me cacher dans les toilettes. Comme je sais si bien faire. 10 minutes plus tard, je rentre dans la salle. Mais là porte à peine ouverte, quelqu'un m'agresse.

C'est la prof.

- Non ! Gueule-t-elle. Sors d'ici toute suite.

"Hain". C'est quoi son délire là ? J'ai rien fais de mal.

- Comment ? Je demande assez poliment.

- Je t'ai dis de sortir d'ici !

- Et pourquoi ??? Je demande.

- Car tu es arrivée en retard. Je ne peux pas t'acc...

- Je m'en fou enfaîte. Maintenant je lui là point final. Vous n'avez pas à me donner d'ordre. Je lui gueule en lui coupant la parole.

Elle ne répond pas.

TOC TOC.

- Entrez. Dis la prof.

Une personne entre. C'est un adulte. Je crois que c'est une sorte de surveillant.

- Bonjour. Je dérange ? Demande-t-il.

- Non non. Répond la prof.

- Très bien. Alors... (il regarde un morceau de papier) Je vien chercher, Lina. Lina Martin. Annonce-t-il.

QUOI ?! Mais putains. Il est hors de question que je le suive. Jamais. Si je n'ai pas répondu à l'appel sur l'interphone, c'est pas pour rien.

- C'est moi. C'est pour quoi ? Je demande.

- Suis moi s'il te plaît.

- Non je veux savoir c'est à quel sujet.

- Tu le saura arriver là bas.

-Où ? J'insiste.

- Dans le bureau de la proviseur.

- Pourquoi ?

Je le fais exprès. C'est tellement satisfaisant de voir son visage changer à chaque protestation.

- Je ne sais pas. Personne ne me l'a dis. Ils m'ont juste dit de venir te chercher. Déclare-t-il.

- Je ne vous crois pas.

- Pourtant c'est pas faux. Continu-t-il. Aller vien. La proviseur t'attend.

- Si elle veut me voir, elle a cas bouger son gros cul et venir me chercher elle même.

J'aime tellement parler aux gens comme ça. Et leur tête après est juste magnifique.

- Lina. Riposte la prof. Ce n'est pas une façon de parler à un adulte.

- Ça tombe bien madame. Ce n'est pas à vous que parlais. Donc fermez votre gueule et arrêtez de vous mêlez des choses qui ne vous regarde pas. Et puis de toute façon, je ne vous l'ai pas insulté.

Je suis fier de moi, mais aussi très en colère. Je sors de la salle rapidement, et vais me cacher dans les toilettes. Encore. Dans la cabine, je m'écroule au sol. Je pleure. D'habitude, je ne suis pas une pleurnicharde. Mais au bout de deux semaines sans pleurer, je craque. Et là, c'est comme si je rattrappais le temps perdu.

À un moment donné, je desside de sortir mon taille crayon, et dévisse la lame. En la prenant dans les main, je ressens un sentiment de nostalgie. Ce qui m'a donner encore plus envie de la faire.Au bout de 6 entaille sur mon bras, je descide de m'arrêter. Je tien 5 minutes. Puis recommence. Le nombre d'entaille n'arrête pas d'augmenter, jusqu'à la sonnerie, où j'entends de nouveau cette annonce.

- Lina Martin est attendu dans le bureau de la principale. Je répète, Lina Martin merci.

Encore une fois, je n'y prète pas attention. Je vais me laver le bras, puis retourne dans la cabine. Pendant l'heure suivante. Le sang coule toujours. Et je me décide enfin à aller en cours. J'ai mal ai bras.

Je me range avec les autres gens et vais m'asseoir à ma plaise sans faire d'histoire.  Je suis à côté de John. Il me fixe depuis qu'on est ranger.

TOC-TOC.

- Entrez. Cris le prof. 

Il entre.

- Bonjour. Déclare-t-il. Je vien encore chercher Lina.

Je me lève sans rien dire et sors de la salle. L'espèce de surveillant, me regarde, ferme la porte et me suit.

- Alors comme ça tu sèche les cours ? Me dit-il. 

Je ne répond pas.

- Tu y a été un peu fort avec la prof tout à l'heure non ?

Je ne répond toujours pas.

Nous arrivons chez la proviseur. Elle m'accueille, et me dit de m'assoir. Je m'assoie, et elle commence.

- Bonjour Lina. Dit-elle.

- Bonjour.

Ça y ai j'en ai déjà marre. La seule raison qui m'a poussé à suivre se gros con, c'était pour me débarrasser de John.

- Hier, nous avons reçus un appel de t'es parents.

- Et alors ? Je ne les considère pas comme des parents. Je lui sors.

- Pourquoi ça ?

- Pourquoi vous ont-ils appelez hier ? Je lui demande en essayant d'éviter sa question.

- Cela risque de te contrarié donc je t...

- Je m'en fou. Venez en au fait. Je crie en lui coupant la parole.

- Très bien. (Elle fais une pause). Tes parents... (une autre pause). T'es parents ton renier...