Chapitre 2.

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Ça ne faisait qu'une heure et demi, que je connaissais Zayn; mais je pouvais tout de même distinguer sa voix à celle d'un autre.

Je ne pris pas le temps de me retourner, et ne répondit guère. J'ai préféré l'ignoré, en douceur.

J'essaya de dessiner une tête, puisque Mr. Biava, avait suggéré à ceux qui n'étaient pas doué en dessin de commencer avec les bases; mais je faisais plus un ovale qu'autre chose, une fois la forme de ma tête terminé, je pris soigneusement la feuille canson A4 dans mes mains et la contemplait, on aurais dis un œuf de pâque, un ballon de football américain, une paire de chaussette enroulé, toutes sortes de choses sauf la forme d'une tête.

Je reposa mon dessin, littéralement blasé. Zayn, qui lui était toujours derrière moi prit mon dessin dans ses mains, je me retournais cette fois pour voir s'il allait se moquer de mon dessin, ou bien faire un commentaire sarcastique ou autres. Mais même pas un petit sourire moquer, amusé ou narquois vient jouer sur ses lèvres, il était concentré sur les traits que mon crayon HB avait causé sur la feuille. Il prit dans ma pochette une autre feuille, et me tira plus dans le fond de la salle avec ce que je qualifierai comme sa bande.

Harry me fixa, je lui rendais son regard; même si en temps normal j'aurais baissé les yeux, gêné. Quelques fois je l'admets je baissais mon regard, car même si ses yeux verts émeraudes étaient magnifiques sont regard restait lourd sur moi.


-Grâce, si je me souviens bien? Dit Louis, me faisant une accolade chaleureuse.

-Hm oui. Dis-je un peu... nerveuse? gêné? oui c'est ça nerveuse.

Harry vint vers moi, me fit la baise, la bise pardon, mes pensées sont... incohérente.

-Moi, c'est Harry. Me dit-il souriant, lui, reprit-il en pointant du doigt son ami, c'est Taylor.

Taylor était un grand brun, plutôt bien calibré, avec de grand yeux bleu, qu'on aurait envie de se jeter dans ses yeux, mais il était un peu intimidant.

Il s'avança vers moi, il me tendit la main, je pris sa main et il prit la parole en même temps:

-Enchanté, hm Grâce?

-Moi, de-même Taylor.

Sur mes paroles, il partit en me faisant un clin d'œil dédaigneux.


Je cherchais des yeux Zayn,et je le surpris en train de discuter avec un magnifique métisse, que selon mes goûts

je qualifierai comme un dieu grec, en plus son regard est époustouflant, euh attendez.. si je vois son regard c'est qu'il me regarde, oh mon dieu Zayn aussi me regarde.

Un rouge écarlate s'abat sur mes joues, je rougis fortement d'embarra.

Zayn et le dieu grec, oui je n'ai pas encore été informé de son prénom alors je l'appelle comme ça, dans mes pensées bien-sûre, en fin bref ils s'approchèrent de moi.


-Hm, enchanté; moi c'est Yassine. Dit-il simplement.

-Hm, salut! Je..Grace. Bafouillais-je.

Il sourit, visiblement amusé de ma timidité, et j'eu l'impression de fondre. Zayn me fixa presque méchamment si je puis dire.


-Zayn, pourrais-tu me rendre ma feuille? Il faut que je finisses avant la fin de l'heure! Me plaignis-je timidement bien-sûre.

-Pourquoi? Demanda-t'il en arquant un sourcil.

-Pas pour des raisons qui te regardes. Dis-je, agacée.


Il fronça les sourcils visiblement énerver que je lui répondes, et il serra les poings tellement fort que son corps tremblait.

Je pris un pas de recul, en bousculant Harry.

Je le regardais ou plutôt admirait la profondeur de ses yeux vert émeraudes. Il n'était pas exactement vert, il y avait une fine couche de marrons autour de la pupille, et les autour des iris une fine couche de bleu apparaissait.

J'étais complètement en extase devant ces yeux, d'une telle beauté.

Je sentis une pression sur mon bras, je posais alors mon regard sur mon bras, et vis le poignet de Zayn.


-Viens voir. Dit-il d'un ton autoritaire.


Je le suivis histoire de ne pas l'énervé encore plus. Lorsque l'on quittait le cours, je le questionnais:


-Où vas-tu?

-Où allons-NOUS plutôt non?

Mon cœur rata un battement, comment il avait dis "nous" était tellement... mignon?

-Oui, alors? questionnais-je, alors que nous passons devant la cafétéria.

-Shht, et ferme les yeux. Rigola-t'il.

-Quoi? Maintenant? En plein milieu d'un couloir? Tu es fou? Dis-je sérieuse.


Il me regarda, sourit; ce qui me fit fondre littéralement.

Il passa ensuite sa main gauche sous mes genoux, et sa main gauche dans mon dos et sans aucune difficulté il me souleva.


-Ah non, repose-moi! dis-je pendant que j'enroulais mes mains autour de son cou, J'ai peur, je... me lâche pas.


Je ne sais pas pourquoi, mais il se raidit à mes dernières paroles; et il me lâcha, mais pas en douceur ce qui fait que je tomba violemment sur le sol.

Et il partit, en colère; qu'avais-je dis de mal?





POURQUOI AVAIT-IL RÉAGIT COMME CA?

Loser.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant