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Chapitre 12
Faire connaissance

☆:::::::: Point de vue ::::::::☆
Prince Phillipe IV [ sixième fils de la reine et du roi et futur roi du trône d'Angleterre ]

Continuant de parler avec Hyacinth, Phillipe commençais à douter de plus en plus. Cette nuit là, il l'avait jamais plus par pitié que réel intérêt. En voyant partir Hyacinth, il était désolé pour elle. Mais en voyant partir Valentina, son coeur s'était sentie blesser. 
Il avait repenser à cette scène encore et encore. 
Sa main ouvrant la porte, les lumières n'éclairant que très peu la nuit. Deux ombres au loin dans le jardin. 
Il était celui qui avait vu Valentina revenir d'un endroit isolé avec Lord Bridgerton à sa suite. Était-elle amoureuse de ce Lord ? 

- Prince Phillipe ?
- Oui ?


Revenant de ses pensées, il fut surpris d'entendre la voix d'Hyacinth en face de lui. Ils étaient assis dans le kiosque de verre entourait de roses. Seul un petite table les séparer et leur chaperon attendant à l'entrée. 
Il sourie maladroitement à sa prétendante avant de reprendre une bouchée du gâteau en à la framboise.

- Vous me semblait distrait, avez-vous envie de parler de votre imaginaire ?
- Non, je... je repensais à quelque chose c'est tout. Mais merci.
- C'est normal. J'aime beaucoup écouter les histoires que les personnes peuvent inventer ou imaginais. Vos rêves de volatile sont très exquis. 
- Vraiment ?
- Bien sûr, s'imaginait volé dans les airs, voir le monde de la haut. Cela doit être aussi effrayant que merveilleux. 
- Aviation. 
- Pardon ?
- Ils pensent appeler ça, l'aviation. Plusieurs ingénieurs travaillent sur un prototype. mais les premiers essais on était catastrophique alors ils prennent du temps à ravoir des accords. 
- Il y a eut des morts ?
Demanda inquiète Hyacinth.
- Bien sûr, il y a toujours des morts. 
- Et cela ne vous brusque pas ?
- Non.

De nouveau dans le silence, Phillipe se demanda ce que Valentina penserais des nouvelles recherches découverte. Elle est tellement intelligente, bien plus que Phillipe. Grâce à elle il a pus comprendre certains calculs et les facteurs qui fallait pendre en compte pour espérer construire quelque chose qui vole. 
Il finit son après-midi avec Hyacinth dans le doute et lors du dîner, il osa finalement perler à sa mère. 

- Je ne veux plus ma marier avec Lady Bridgerton.

Entendant les couverts tomber, Phillipe vit le visage consterné de sa mère de l'autre côté de la table. 

- C-comment ça ? Tu as choisit Lady Bridgerton, un excellent match. 
- Oui, mais c'est étrange. J'ai l'impression qu'elle ne m'aime pas réellement. Et, elle n'est jamais intéresser par l'aviation.
- Phillipe, mon coeur. Lady Bridgerton et compétente en tant qu'épouse, pas amie. Elle est belle, intelligente, elle sait faire du violon et est très, très bien éduquer. Elle sera une parfaite reine. 
- Mais je...
- Non ! 

Surpris, il se ratatina sur lui-même effrayer par le ton agacer de sa mère. 

- Tu as choisit Lady Bridgerton c'est ainsi, vous vous entendez très bien et elle est un parfait diamant. 

Coupant cours à la conversation Phillipe ne put en dire plus. La discussion était close. 

Le soir Phillipe se tourna et se retourna dans sa couette tellement de fois qu'il faillit tomber de son grand lit. Il en pouvait pas abandonner. Si Hyacinth lui avait bien appris une chose c'était qu'il était incroyablement têtu. 
Quand elle lui avait dit, il l'avait mal pris mais elle avait su manier les mots avec une telle délicatesse et intelligence qu'il avait finit par aimer ce trait de caractère. 

Le lendemain il passa sa journée à essayer regarder par la fenêtre de nouveau. Il se demander s'il ne se saboter pas lui-même. Peut-être que cette sensation n'était que dans sa tête.  Réveiller par l'entrer de sa gouvernante dans sa chambre, Phillipe, la regarda ranger le linge. Il demanda :

- Dame Louïsa, comment savez-vous que vous êtes amoureuse ?
- Oh ! C'est une question très compliquer mon prince. 
- Avez-vous déjà était amoureuse. 
- Oui ! Il était très séduisante, et très charmant. Mais aussi hors de ma porter, je suis une fille du peuple, lui un aristocrate. 
- Cela est si important ?
- Oui ! Nous ne devons pas nous mêler aux autres classes. sinon tous s'écrouleraient. 
- Et l'écroulement est mauvais.
- Exactement. 


Réfléchissant, Phillipe finit par se dire qu'il ne devait pas décevoir sa mère et les autres. Si Hyacinth était si parfaite, c'est qu'elle l'était. Et il finirait bien par le voir et l'apprécier.  

- Y a-t-il bientôt un événement. 
- Oui, anniversaire de Alexander Bridgerton, le deuxième fils de Lord Benedict Bridgerton et de sa femme Sophie Bridgerton. Lady Hyacinth vous a invitez hier. 
- C'est vrai, j'avais déjà oublier. Que pensez-vous que je dois amener pour lui faire plaisir ?
- Oh ! Mon prince. Les femmes adorent les bijoux, les robes ou bien les fleurs. 
- Quel cadeau lui ferait comprendre que je suis heureux d'être avec elle ?
- Un bijoux ! Spéciale, qui représente votre amour. Une parure peut être parfait. 
- Alors une parure ! Diamant ou rubis ?
- Que préfère-t-elle ?
- Je ne sais pas...
Dit-il se rendant compte de plus en plus qu'il n'a jamais réellement chercher à connaître les centres d'intérêt d'Hyacinth. 
- Si vous ne savez pas, faite en fonction de ses yeux. 
- De ses yeux. 
- Sont-ils bleu ? 
- Je...


Encore une fois, il ne savait pas. Embarrasser, Louïsa finit par le laisser seul, pour ne pas être retarder dans ses tâches de domestique. Phillipe sans voulait énormément de ne pas savoir tout ça. C'était donc sa réponse. S'il commençait à s'intéressait à Hyacinth il verrait à quelle point elle est parfaite pour lui. 

- Je dois trouver encore mieux qu'une parure !




Le Duel des Gemmes - Bridgerton fanfictionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant