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ＢＩＥＮＶＥＮＵＥ•
Il vivait une vie paisible, sans soucis avec un avenir sûrement prometteur.
Mais voila, rien n'est tout beau tout rose.
Une chose, va en entraîner une autre.
Que va t'il faire ?
Contenu violent avec langage cru.
Lemon, me...
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Pétrifié. Figé. Peur. Haine.
Les pensées désordonnées, c'est complètement perdu qu'il reste au beau milieu de la pièce, les yeux rivés sur le sol fixant du regard du sang séché. Tous les deux dans la cellule, Izuku a du mal à respirer, comme si sa cousine lui prenait tout l'air et que ça l'intoxiquait. Des bruit de détonation retentissent, mais ça ne lui fait pas vraiment peur pour le coup, la déception est telle que là, actuellement, il n'a envie de rien faire.
Pourquoi ? Pourquoi lui avoir menti ? Qu'ai-je fait pour mériter ça ? Se demande-t-il en boucle dans sa tête.
Du coin de l'œil, il la voit sortir un bout de métal de sa bouche, puis écarte les deux bouts et s'approche de la serrure, faisant une manœuvre délicate. Pas si difficile que ça, étant donné qu'un clic retenti au bout de quelques secondes, puis elle abaisse la poignée, ouvrant la porte.
Mina - Dépêche-toi !
Relevant la tête, il la secoue, ne voulant pas du tout la suivre. Elle grimace devant ce refus et opte pour la violence plutôt qu'un débat, prenant violemment son poignet, le tirant, mais au lieu de la suivre, il se dégage de son emprise.
Izuku - Me touche pas !
Elle fronce les sourcils puis, jette un œil à l'entrée du couloir et revient.
Mina - Pardonne-moi ! On doit partir !
Izuku - Pour me faire retrouver et me faire tuer !? Pourquoi tu m'as fait ça Mina !? Pourquoi !?
Elle revient auprès de lui, posant les mains sur ses épaules, forçant un contact visuel.
Mina - Écoute, je t'expliquerai... J'avais honte d'être dépendante de lui... Je ne pensais pas que cette histoire irait aussi loin...
Elle déplace ses mains et prend les siennes.
Mina - Fais-moi confiance. On va s'échapper, ensemble, tous les deux.
Il fronce les sourcils et voyant qu'il n'émet aucun refus, elle lui saisit à nouveau le poignet et l'entraine pour sortir de la cellule.
C'est une bonne idée de la suivre comme ça ?
Venir avec elle aveuglément sous des promesses déjà étouffées par les mensonges passés. Il ne sait pas quoi faire, là, en cet instant. Ça tourne trop en boucle dans sa tête, ça en devient douloureux, il ignore s'il peut encore se laisser convaincre. La suivant, enfin plutôt tiré comme un vulgaire objet, un bruit assourdissant l'oblige à boucher ses oreilles pour espérer atténuer la douleur puis tousse quand la fumée parvient à ses narines.
