𝐕𝐈𝐍𝐆𝐓-𝐇𝐔𝐈𝐓, jusqu'au dernier gramme

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Aléa se retourne furtivement sous la couverture avant de plisser les yeux et de voir, dans l'obscurité, la silhouette de l'algérien se dessiner

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Aléa se retourne furtivement sous la couverture avant de plisser les yeux et de voir, dans l'obscurité, la silhouette de l'algérien se dessiner. Elle observe l'heure sur son téléphone, éclairant soudainement son visage, pour finalement se rendre compte de l'heure tardive qu'il est.

— Tu fais quoi ?

Il pivote presque aussitôt sur ses pieds, il finit d'enfiler un pull épais avant de poser les yeux sur la brune. Les sourcils à la fois froncés, un sourire timide se dessine sur ses lèvres.

— Désolé si je t'ai réveillé, il tire sur le tissu de son pull, j'arrivais pas à nehess.

La brune frotte ses yeux tout en allumant la lampe de chevet pour éclairer un minimum le visage de l'homme en face d'elle. Maintenant qu'elle est habituée à sa constante présence, elle ne peut plus lui en vouloir sur ce qu'il s'est passé précédemment entre eux, c'est presque inimaginable pour elle maintenant.

— T'inquiète, Aléa se redresse sur le lit à l'aide de ses mains, mais tu vas où ?

De son côté, le brun est partagé. Il comprend très bien ce qu'il se passe dans leur relation, ce qu'il ressent aussi. Mais il aime prendre du recul, peut-être qu'il manque encore de confiance et de ce fait, il rumine presque chaque nuit, comme cette dernière.

— J'ai besoin de faire un tour vite fait, il sourit en observant la brune poser les pieds hors du lit. Son regard descend furtivement sur ses jambes nues avant de croiser à nouveau ses beaux yeux verts.

— À cette heure-là ?

Une légère inquiétude se lit sur le visage de la brune, qui s'empresse de se relever pour atterrir en face de l'algérien qui es tout juste prêt pour sortir, en pleine nuit.

— Ouais, il hoche la tête puis tend une main vers la joue de la brune qu'il caresse du bout des doigts, tu veux venir avec moi peut-être ?

Les yeux brillants de la brune reluquent le corps un peu trop imposant de Nabil, son regard détaillant chacun de ses vêtements, en allant de ses baskets blanches jusqu'à son gros sweat blanc. Elle sourit, tout près de son visage avant que la main du brun ne quitte doucement sa joue.

— Pourquoi ? T'as peur tout seul ?

Un rire narquois s'échappe de ses lèvres. Nabil tire une mèche bouclée des cheveux de la brune la faisant râler.

— Ta race, je te proposais juste. Maintenant si tu veux pas venir, il hausse mollement les épaules, bah nique sa mère.

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