" C'est moi qui veux te toucher"

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ATTENTIONNNNNNNNN, chapitre purgation des passions (car je sais que vous en raffolez mes cochons) donc pour les innocents et ceux qui ont peur de l'enfer :

on se stop à l'arrivée de ce signe: 👉👈

et on reprend à : 🤫

Quelques semaines s'étaient passées tranquillement, et Megumi apprécié de plus en plus le temps passé avec Sukuna, bien qu'il soit minime. Il avait même commencé à lui poser des questions personnelles, car cela ne semblait pas déranger le rosé qui, au contraite, était plutôt flatté que Megumi s'intéresse à lui. Le brun avait même recollé les morceaux avec Tsumiki grâce au conseille du Sukuna : Il lui avait montré qu'il était serein dans cette prison, et qu'il ne fallait pas s'inquiéter pour lui.

Seulement, il restait une chose que Megumi n'avait pas pu faire, et cela l'agaçait vraiment : donner du plaisir à Sukuna, comme il l'avait fait pour lui. Mais depuis cette fois dans la salle de repos, ils n'avaient jamais pu être seuls. Un jour ils lavaient les vitres, un autre ils repeingnaient un mur, encore un autre ils récuraient les douches, jamais il n'avait eu l'occasion d'approcher le rosé sans être épié par un agent. Mais, il sentait que cette fois ci, ce serait la bonne. Bien sûr, Megumi avait beaucoup d'appréhension et il se demandait s'il saurait comment faire. Ce n'était pas comme s'il était inexpérimenté, bien au contraire, cependant, il savait comme combler Yuji et non Sukuna. Au fond, Megumi se trouvait stupide d'être en boule dans son lit, son oreiller entre les bras, attendant que les agents viennent le chercher, une boule au ventre. Une boule, qu'il s'était lui-même créé. Car après tout, Sukuna ne lui avait rien demandé.

Au bout d'un temps, durant lequel Megumi s'endormit comme une souche, les agents virent l'emmener, comme à l'accoutumée, dans le bâtiment principal. Ce chemin, si souvent emprunté maintenant, paraissait à Megumi comme un passage dans un autre monde. Le passage, entre le monde de la solitude à celui de la luxure, de l'inaction de l'enfermement, à celui du labeur du travail. Ils passèrent d'ailleurs dans un couloir que Megumi n'avait emprunté qu'une fois, le jour où il avait voulu tuer Ryoumen, le couloir menant aux toilettes. Une excitation soudain s'empara violemment du brun, qui instinctivement, commença à accélérer le pas.

Comme la dernière fois, il fût le premier présent devant les sanitaires, mais, cette fois, il commença directement. Il entendit plus tard dans son dos, Sukuna qui commença lui aussi ses ouvrages. Les deux, pourtant sans s'être parlés, étaient tellement rapides, qu'au bout d'une heure, ils ne leur restaient plus qu'une cabine, la fameuse cabine, celle où tout avait commencé.

👉👈

Sans plus attendre, le brun s'approcha doucement de Sukuna, avant de le tirer pour le faire s'asseoir sur la cuvette. Le rosé n'était pas forcément surpris que Megumi l'eu tiré loin du regard des gardes, mais il fût assez interloqué de voir Megumi se mettre à genoux devant lui, tendant la main vers la fermeture du bleu de travail de Sukuna, au niveau de sa gorge. Mais, le rosé lui attrapa fermement la main.

-" Doucement poupée, je sais que ça fait longtemps et que tu dois surment être frustré, mais ce n'est pas une raison pour faire preuve d'impolitesse."

Sukuna rapprocha Megumi de lui, si bien que leurs nez s'effleurèrent. Mais il avait raison, et le brun se sentit une nouvelle aussi bête qu'un jeune adolescent. Il détourna les pupilles, ne pouvant soutenir le regard provocateur de l'homme en face de lui. Pour qui il s'était pris, à sauter sur les gens comme un animal en quête de chair fraiche.

-" Désolé..."

Sukuna ricana délicatement, en posant ses mains sur les hanches de Fushiguro pour le guider vers ses genoux. Maintenant installé sur les cuisses du rosé, Megumi paraissait plus grand que lui.

MEURTRIERS (Sukuna X Megumi)Where stories live. Discover now