Un Lourd Héritage.

L.H-Chapitre 1 , Premiers Soins.

Tout commença la première fois dans les arrières du restaurant Italien, L'impresto.

Harmfield KUNT conduisait sa moto pour y faire ses rondes habituelles quand il perçut des bruits et l'odeur du sang. Il décida d'aller voir ce qui s'y passer.

Deux hommes agressaient une femme.

Contre tout attente, Kunt décida de l'aider. Il se bat, se fait poignarder par l'un des hommes. Lui, sort une arme pour se défendre quand un autre homme surgit, le désarmant. Kunt est à terre ce qui n'est pas fréquent. Il saigne, il a mal. Mais au fond de lui il sait qu'il ne risque rien. Il sourit à son adversaire. Pour la première fois, on lui met une arme en joue. Kunt rit :

- Je t'en prie, tire si t'as le courage !

Quand l'homme s'effondra sur le côté. Kunt n'en revint pas. Elle tenait l'arme de Kunt entre ses mains et avait tiré sur l'homme. Elle tremblait de tout son corps. Elle était assise à côté, à gauche, projetée quelque seconde avant par l'un de ses agresseurs.

Elle se releva puis aida Kunt à se relever à son tour. Il était très amoché. Quand ils attendirent des bruits, apparemment ils auraient de la visite.

Kunt prit la fille par la main, la fit monté sur sa moto lui demandant où elle vivait. Elle n'habitait qu'à deux pas d'ici, dans une arrière cour.

Elle, Louise, ne comprenant pas vraiment tout ce qui venait de se passer. Y a encore quelques secondes elle se serait cru morte et là, elle s'accrochait à un homme blessé mais tellement séduisant. Elle lui indiqua le chemin. Ils étaient arrivés dans les arrières de la rue principale. Cela ressemblait plus à d'anciennes usines qu'à des habitations. Elle les amena jusqu'à son appartement. Un petit studio qui n'est absolument pas rangé. Kunt en fut dégoûté, mais vue les blessures il lui fallait du repos pendant quelques heures. En plus, il ne fallait pas que son boss sache ce qu'il avait fait. Elle le fit s'asseoir sur son lit en y faisant de la place pour qu'il s'allonge le cas échéant. Il était grand et prenait une place folle. Elle s'aperçut qu'il saignait de la tête. Le sang avait déjà séché mais pas disparu. Elle lui apporta des compresses et du matériel médical. Elle alla pour le toucher, il la brusqua.

- Personne ne me touche, compris !

Elle ne broncha pas un mot. Bien trop timide pour ça. En plus en voyant son studio.

« Quelle pagaille ! Se dit-elle »

Alors qu'il commença a retiré sa veste de motard et qu'il retira sa chemise qui avait été déchirer par quelques coups de couteau, elle remarque sa musculature :

« Ça existe vraiment ?! Un tel homme? se demanda-t-elle, qui commençait à rougir.»

Kunt le ressentit.

- Vous n'avez jamais vue un homme retirer sa chemise ?

Elle en était troublée. Elle devait détournée son attention. Avec quoi ? Elle décida alors de prendre la chemise, prit la boite à couture qui était sous son lit, l'ouvrit, prit du fil blanc et une aiguille et commença à recoudre la chemise.

- Vous savez faire cela ? lui demanda-t-il, quant il commença par ouvrir quelques compresses et mettre de l'alcool dessus. Il s'en posa une  mais la douleur était là. À croire qu'ils lui avaient casser quelque chose.- Arrêtez ce que vous êtes en train de faire et aidez moi.

Elle s'arrêta net, elle était assise par terre à ces pieds. Il lui prit une main, lui mettant par la même occasion la compresse et la porta à son torse.

Elle se tendait sur ses genoux rougissant de plus belle. Elle se serait cru comme dans un rêve. Jamais elle n'avait eu un tel homme même dans ses rêves les plus fous. Il avait une telle carrure, un tel charisme et une prestance... qu'elle s'en sentait totalement indigne de faire ce qui lui demandait de faire, et pourtant, avec la douceur qu'elle avait en elle, elle déposa délicatement la compresse sur son flanc droit, ne le regardant pas. Elle voyait juste cette musculature, si parfaite si athlétique, se contracter au moindre de ses mouvements. Elle ne sentait pas à son aise mais quand elle vu du sang sous la peau, elle leva les yeux.