MALTE
Les voilà à Malte sous un ciel étoilé. Harmfield prit dans ces bras Louise ; Cameron les suivit, jusqu'à une hospitalité, la Dis Malti.
Elle était la propriété de Cameron, grande, spacieuse, bien meublée de toute époque, sur deux étages, en U.
À leurs arrivées, Harmfield déposa Louise dans l'une des chambres.
– Tu l'as dans la peau, lui dit Cameron.
– Sauf, répondit Harmfield en caressant le visage de Louise, qu'après ce qu'elle vient de voir, je me demande ce qu'il va se passer.
– Il va falloir être patient mon ami. Une faim ?
Harmfield se releva, regardant le visage endormi de Louise. Que n'aurait-il pas fait pour qu'elle se réveille, pour la prendre dans ces bras, pour la chérir. Mais il finit par sortir de la chambre et suivre Cameron.
Ils allèrent en ville, histoire de faire les alentours, et de savoir si oui ou non, L'Ordre tout comme Ficome les avait suivis. Par chance, ils n'y avaient personne, surtout à cette heure tardive.
Vers cinq heures du matin, les deux hommes rentrèrent à l'Hospitalité, et montèrent se coucher.
Harmfield eut un pincement au cœur en passant devant la chambre de Louise, refoulant ce qu'il ressentait. Une fois dans sa chambre, Harmfield, retira sa perruque, ces vêtements, et alla se coucher.
Le Soleil pénétra dans la chambre où dormait Louise. Elle ouvrit les yeux, se trouvant allonger sur un lit, dans une chambre qu'elle ne connaissait pas, et sentant le poisson. En se levant , elle se sentit vaseuse. L'odeur du poisson était tellement forte que cela l'indisposée. Elle sortit de la chambre, suivant un couloir, donnant sur un escalier, qu'elle descendit, allant vers un sifflement.
Cameron était dans la cuisine, préparant des boissons.
– Ah, bien réveillé ? demanda-t-il.
– Je pue le poisson, mais sinon oui. Aurais-tu de l'aspirine ?
Cameron réfléchit un moment, regardant dans ladite pièce, s'arrêtant net.
– Dans la salle de bain.
Louise lui sourit.
– La pièce se trouve au fond du couloir, tu ne peux pas la rater, dit Cameron.
Louise s'exécuta, remonta aux chambres, alla jusqu'au fond du couloir.
Harmfield venait de se lever, avec une faim de Loup. Il se dirigea vers la salle de bain , entrant dans la douche. La porte de la pièce s'ouvrit, des pas vinrent vers lui.
Louise entra dans la salle de bain, passant devant la douche, s'arrêtant devant, ne remarquant pas qu'Harmfield s'y trouvait, lui faisant dos, elle trouva la fameuse aspirine. Elle alla au robinet, se prenant un verre d'eau, ce qui fit sourire Harmfield, attendant une main sur le robinet. Louise alla ranger le flacon, quand elle entendit de l'eau. Oui, Harmfield avait fini par ouvrir le robinet. Louise se retourna confuse, se trouvant devant un Harmfield nu, dont l'eau glissait sur son corps d'albâtre. Elle se sentit rougir, détournant le regard. Elle alla partir, quand Harmfield lui tendit une main. Elle resta stoïque quelques secondes, puis mit la main dans la sienne. Il la fit entrer dans la douche. Elle se trouva collée à lui. Il lui caressa le visage, puis lui prit le menton, l'embrassant tendrement.
– Kunt, je suis... mariée. Il n'aimerait pas....
– Tous mariages n'ont consommé au bout d'un mois, est caducs, lui susurra-t-il.
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Un Lourd Héritage.
ParanormalSa première erreur, sauver la vie de cette femme. La seconde, ne pas en avoir fini, et la troisième... son secret, dont elle détiendra la clé. Louis DonVigno, une jeune française se retrouve, après des études d'art, va allez vivre chez son père qui...