Préambule

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Je ne veux pas dire « commence »
Car j’ai peur de faire offense
Au silence, où se promènent
Tes lèvres sur les miennes.

Je ne sais pas dire « encore »,
Quand mon égo s’invite alors
Que tes mains dessinent mon corps,
Entre le cuir et ma peau,
Pour y cueillir mes sanglots.

Te souviendras-tu de moi ?
Quand le train repartira,
Laissant mon insouciance 
Orpheline de tes errances,
Et de ta voix. Ne m’oublie pas.

Mélange ÉtrangeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant