𝚈𝚘𝚞'𝚛𝚎 𝚝𝚑𝚎 𝚑𝚎𝚊𝚛𝚝. [ 𝐵𝑦𝑙𝑒𝑟 ]

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 4.

Les pas de Will partait de l'hôtel dans lequel il logeait en attendant un domicile à vendre. Ils franchirent la porte d'entrée de l'hôtel avant de prendre le chemin pour aller à la demeure de son ami.

Tandis que les pas de Mike, eux, tourne en rond dans sa chambre. Une mini balle qui l'a emprunter à sa sœur jongle entre ses mains pendant que ce dernier réfléchi.

Tout comme William, Michael est empressé de revoir son meilleur ami qui devrait arriver dans une quinzaine voir une trentaine de minutes.

Entre temps, il a reçu une nouvelle de Dustin qui lui avait miné sérieusement le moral. Un ami qui jouait à D&D avec eux est décédé. Il a eu les détails de sa mort sous les tremblements de la voix de Dustin.

Et bien qu'il n'avait pas été présent lors de cette dernière semaine pour Eddie, il restait l'un des amis proches de Mike.

Il se souvient même qu'une fois après une partie qui avait duré environ 15 heures, ils s'étaient retrouvés tout les deux à parler.

Parfois, Eddie pouvait avoir un comportement assez étrange ou terrifiant pour certains mais malgré ça, il restait une personne tout à fait remarquable dans le coeur de tout les membres du Hellfire.

Alors oui, la mort d'Eddie - en plus de la tristesse de Dustin - pèse sur son esprit et sur son cœur.

En plus de ça, il n'a toujours pas de nouvelles d'Eleven ; tout ça pour dire que Mike se sent inutile et ne se sent pas très bien mentalement.

Hormis le fait de voir Will (qui est d'ailleurs la seule chose qu'il est accepté de faire pour la journée malgré les propositions de sa mère sous le jugement de son père) le brun n'a strictement aucune idée, il se demande même si Will allait être réjouit de sa compagnie.

Et cet état d'esprit est comme accordé avec sa chambre ; les volets sont pratiquement fermés ce qui laisse le minimum de lumière, car Mike en a marre de contempler les particules d'Hawkins voler, la fenêtre est ouverte et le lit à au moins cinq pled sur les coins du lit.

Se rendant compte de l'état de son lit, Mike étira la couette prisonnière des draps mais ne touche pas au pled auquel il avait utilisé hier soir comme si on était en hiver.

Car effectivement, son esprit est en état de choc suite aux éléments précédent comme s'il empoignait un glaçon sans gants ; il y reste figé mentalement.

En revanche ce qui arrête la figeation de son esprit comme de son corps sont les quatres coups frappés contre la porte.

Il est là.