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Olivia:
Il s'approcha de moi.

Moi: Axel...

Lui: oui Olivia!

Moi: tu es sûr ?

Lui: tu as des doutes? (Tout en me fixant!)

Il m'attrapa le cou, il m'embrassa lentement.

Lui: tu as des lèvres circulantes, j'ai eu un électro-choc dans mon corps.

Moi: tu ne sais pas de quoi je suis capable. Rentrons dans la chambre...

Nous rentrâmes dans la chambre, éteignit la lumière...
Dans l'obscurité, il me tint par la taille, me doigta profondément. Ça m'a trop manqué depuis ma rupture avec Valentin.

Ses doigts devinrent collant, il caressait mes seins avec. J'étais tout excité. J'ouvris son pantalon pour toucher, il me tint la main.

Moi: tu as quoi subitement ?

Lui: rien!

Moi: c'est faux dis-moi!

Lui: je n'ai rien de consistant en bas!

Moi: et tu te complexes pour ça ?

Il n'a plus parlé, il était gêné. Mais c'est moins grave, si le doigt peut donner des effets, le petit zizi en fera autant.

Moi: laisses moi faire.

Je le suçais profondément, je le fis assis, j'écartais largement mes jambes pour venir rencontrer ses quelques centimètres.

J'ai eu de la sensation, ensuite, il me prend de derrière; cette fois j'étais k.o. La levrette fait des bonnes choses même si tu n'as pas grande chose.

On a finit par le faire, j'avoue ce n'était comme Valentin mais ça va. Valentin avait de la maîtrise, mais lui également était moyennement bien. Si je vais me mettre à comparer, je serai perturbée. On laisse le passé derrière et on se focalise sur l'avenir.

Moi: pourquoi tu te fais petit après l'amour? J'ai beaucoup aimé.

Lui: sérieux ?

Moi: sincèrement...tu vois Axel bon nombres n'ont pas ce que tu as et tu n'es pas la seule personne. Et ceux qui ont un problème d'érection? Et ceux qui sont stériles ? Mon cher si tu veux avancer regardes derrière toi et non devant toi!

Jacqueline:
Ça fait plus de dix fois qu'on a des différends et cela en était de trop je n'arrivais pas à cerner cet homme que j'avais épousé. Qu'est-ce qui l'a changé ? Avait-il une autre femme dehors? C'est quoi son véritable souci et il m'a jamais mise au courant?

Je devenais de plus en plus faible et Valentin gagne de plus en plus du terrain. J'ai fait six mois de résistance. Cela en était de trop...

Je m'en souvins comme si c'était hier, on avait décidé de faire un enfant malgré nos soucis, on avait décidé de faire un enfant. On le fait, on le fait vraiment tout en comptant les jours. Peut-être un enfant allait équilibrer notre mariage, c'est ce que je me suis dit.

Après l'amour, j'ai donc décidé de lui dire la vérité.

Moi: mon amour, tu me fais mal et je suis sérieuse. Si je connais véritablement le problème j'allais me plier même si c'est à quatre pour le résoudre mais rien. Tu es tout temps silencieux. Sais-tu que ton ami me fait la cour? C'est lui le V là que tu vois chaque temps. Je me sent faible et comme je l'ai dit, je ne pourrai jamais te trahir en plus avec ton ami.

Il s'approchait de moi et me parla pendant une bonne vingt minutes. Je n'avais pas su quand mes larmes coulaient. Je pleurais à chaude larme. Sans lui dire, j'ai décidé de le faire!

Jacob:
Avec Valentin ce n'était plus comme avant, il est devenu patron grâce à moi mais on se voit rarement. Je le comprends c'est tout à fait normal. On devrait se croiser dans un maquis ce samedi, histoire de changer quelques idées. En plus son anniversaire s'approchât jour commémoratif de la St Valentin.

Il vint dans la voiture de service;

Moi: ah mon pote ça prend du poids...

Valentin: ne me flattes, tu t'es bien regardé !

Après les salutations et tout autre du genre, il me proposait la publicité de leur produit car le 14 février, on organisait des soirées dans presque tout Lomé.

Lui: on amènerait des boissons dans les restaurants et on fera des reportages, elles nous constitueraient de publicité.

Moi: c'est une excellente idée....toi tu n'auras pas le temps de festoyer avec ton amoureux. Moi je compte sortir avec Jacqueline.

Lui: là il faut attendre un autre jour, le travail l'appelle. On aurait besoin de tout le monde.

Moi: frère ce n'est pas parce que tu es célibataire que tu vas me faire ça !

Lui: hum j'ai un rencard ce 14! Restes là...

Moi: ce que je te conseille, tu es patron. C'est mieux que tu le fasses dans le bureau. Déjà le 14 février personne ne sera dans les bureaux. Mais imagines si on te croise dans les hôtels et auberges de la ville avec une fille, ton image. Mais dans le bureau hum, ça serait ni vu, ni connu.

Lui: à bien réfléchir tu as raison. C'est une excellente idée. On fera comme dans les films où on va renverser tous les matériaux et aplatir la femme sur la table.

Jacqueline:
J'avais beaucoup réfléchi et j'ai même donné rendez-vous à Valentin. Pourquoi ne pas le faire ?

Le 13 on avait tenu une réunion dans nos locaux tout en exposant le programme de la journée...

Puis le 14 vient, on s'était donné rendez-vous dans nos locaux comme Jacob lui avait dit.

Olivia:
Comme à l'accoutumée, j'avais décidé de faire une surprise à Valentin, malgré tout on est des amis. Je viens chez lui et il était sur le point de quitter! Je l'avais suivi car il m'entendait pas. Il roulait vite, venu à une station il gara et une fille montait.

Moi: Jacqueline ?

Je n'avais rien dit, je les ai suivi jusqu'au bureau. Mais il n'y a pas de travail qu'est-ce que ces deux font ensemble. Je vais avertir mon patron, Jacob.

Je viens chez lui, il était assis au salon.

Moi: patron c'est gâté...

Lui: quoi?

Moi: Jacqueline et Valentin...

Lui: qu'est-ce qu'il y a? Ils ont eu un accident ?

Moi: pire qu'accident. Je pense qu'ils couchent ensemble.

Lui: quoi?

Moi: allons je vais vous montrer!

À suivre!

La Secrétaire Where stories live. Discover now