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On l'associé à cette personne chaque jour de sa vie, elle ne disait rien parce que la seule chose qu'elle voulait à l'intérieur de son cœur n'était pas ce que les gens voulaient pour elle.
chapitre 7
Je me réveille de bonne humeur à 5h du matin pour manger puis faire la prière. Je suis allé à la douche et j'ai préparé mes affaires pour la sortie. Ma sœur s'est également préparée et ensuite nous sommes descendues pour aller chercher mes amis.
Izaya : Dépêche-toi.
Moi : Attends, je cherche mes claquettes.
Izaya : Ce n'est pas grave, dépêche-toi.
Il était en train de descendre.
Nous sommes partis à l'arrêt où nous devions nous retrouver avec les éducateurs.
Moi : Salam alaykum.
Audrey : Vous êtes tous là ?
Rim : Ah, Mariam est là, c'est bon !
Audrey : On attend encore un peu les autres, puis on part.
6 minutes plus tard
Audrey : Bon, on va y aller, tant pis pour Amir.
Nous avons pris le bus.
Mariam : Je vous dis, vous ressemblez à quel animal.
Chaima : Vas-y.
Soukaina : Mais pourquoi faire ?
Mariam : Déjà, Rim est un faucon.
Rim : Hein ? Je vais te balayer.
Chaima : naaz, c'est un cheval, elle écrase tous les tapis à la mosquée.
Mariam : Chaima, un koala.
Rim : Non, c'est Soukaina le koala.
Moi : Izaya, moi je dis un âne.
Soukaina : Ouais, grave.
Moi : Toi, plutôt un chameau.
Rim : Les koalas, c'est moche, sérieux.
Chaima : C'est Mariam, le chameau plutôt.
(Bref, une discussion aléatoire)
Nous sommes arrivés jusqu'au métro, nous étions 7, je crois.
Moi : J'ai déjà faim, je veux m'asseoir.
Les autres parlaient, je ne sais pas de quoi, mais je n'ai rien compris. J'étais assis, je regardais dans le vide.
Tout le monde était sur son téléphone sauf Rim et moi, car nous n'en avions pas. Nous nous regardions.
Rim : Wallah, Naz, à peine je te regarde, tu le fais rire.
Moi : Moi aussi, ta tête de gogole.
Rim : Dindine.
Nous sommes arrivés, nous avons marché un peu vers la plage ça fait des année que je ne suis pas venu, En m'approchant de la plage, je sentais cette légers odeurs de sable et un peut de pipi.
Les vagues se déployaient avec puissance.
Les rayons du soleil reflète sur la surface de l'eau, je m'avançais lentement mes pieds s'enfonçaient dans le sable chaud et doux. c'était une sensations réconfortante .
Nous avons pris une photo et fait une pause, nous nous sommes assis.
Animateur 2 : Celui qui saute dans l'eau maintenant, je lui donne 10 euros.
J'ai commencé à enlever mes chaussures.
Chaima : Moi, je ne le fais pas, il fait froid.
Adam: Non, allez-y, moi j'ai peur.
Yaya ) : Vraiment ?
L'autre, Kais, a commencé à enlever son pantalon, j'étais bloqué sur ses jambes, que Dieu me pardonne, mais c'était poilu .
Animateur 2 : Oui.
J'ai commencé à monter mon pantalon à la cheville.
Izaya : Non, Naz, arrête de faire des bêtises.
Moi : Pour 10 euros, je te tue.
L'autre a commencé à se diriger vers l'eau.
Animateur 2 : Mais je rigole.
moi:serieux?
Je vous jure, pendant 7 minutes, je suis restée bloquée sur ses jambes et ses pieds. Ce n'est pas méchant, mais je me demandais comment il allait faire , s'il fait de la cire, il va souffrir, le pauvre. Astaghfirullah, mais là, j'ai repensé à ça.
Nous attendions les moniteurs.
Moniteur : Bonjour, nous allons commencer.
Soukaina : Déjà lui, ça se voit que c'est un pervers.
Moi : Mais...
Mais cet enfant, des fois...
Ils nous ont donné des consignes, blablaté, etc.
Moniteur : Par contre, le voile, ce ne serait pas possible.
Moi, je n'avais pas compris, parce que nous étions sur une plage.
Moi : Comment ça, ce n'est pas possible ?
Moniteur : Les filles qui portent le voile ne peuvent pas participer à cette activité.
Rim : Mais pourquoi ? Ce n'est pas juste !
Moniteur : Ce sont les règles du club, nous ne pouvons rien y faire.
Izaya : On peut peut-être trouver une solution ?
Moniteur : Je suis désolé, mais ce n'est pas possible, beaucoup de gens se plaignent déjà ...
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