The choice of love

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Deux jours plus tard

Pudiah s'était lever très tard, après avoir fait son rituel du matin, elle vérifia si Héméra dormait encore, la petite était plonger dans un profond sommeil, mais ne cessait de gesticuler, comme si elle fesait un rêve, Pudiah s'assit près du berceau afin de bercer le bébé endormi.

--Bonjour Mll Yuzmin.

Pudiah sourit, elle aimait beaucoup Ratze et ses plats délicieux,

--Bonjour, je t'en prie tante Ratze, appelle Pudiah tout simplement.

--Très bien ma petite, Je t'ai apporté ton petit déjeuné,

--Merci...

Les jeune femme bu son thé l'air pensive.

--Tout va bien ?
Pudiah secoua la tête ça fait deux jours qu'elle n'a aucune nouvelle de Chi-tze, celle ci était parti en courant.... Maintenant ni sa mère, ni son frère ne savait où elle se trouvait,

--Je suis inquiète pour mon amie...

--Vous vous êtes disputé?

--En quelque sorte, en ce moment personne ne sais où elle est... et je veux pas qu'il lui arrive quelque chose, j'espère que Shiva va la protégée...

Alors qu'elle discutait avec la vieille dame, des bruits sourd se fit entendre en bas, elles descendirent toute les deux et croisa Anthea avec plusieurs hommes qui transportaient des tas de choses. 

--Que faites vous ? Mr Irakleios est absent. Dit Pudiah,

Sa soit disante ennemie la toisa avant de passer près d'elle tout en donnant des instructions aux étrangers,

--Demain c'est l'anniversaire de mon fiancé, quand il rentrera de son voyage, je veux qu'il passe la meilleure journée que possible. Lance Anthea en se retournant pour la faire face.

--Mais... mais....

--Ratze à ta place je la fermerai, aide moi plutôt a organiser l'anniversaire surprise de ton patron. Conclut la présumer maîtresse des lieux en chargeant les mains de la dame d'une pile de carton. Aide mes décorateurs à décorés la maison, Et toi aussi la paysanne, aide la vieille j'ai pas envie qu'elle fasse un infarctus! Oh cette maison semble être morte depuis des lustres.!

--Laisse tante Ratze, je vais gérer tout ça.

--Mr Irakleios ne fête jamais son anniversaire.... Je... j'ai peur de se qui peut arriver demain quand il verra ça....

Le lendemain

--Oui Kevin je viens d'atterrir, tu sais bien que je ne discute pas au téléphone, ah vraiment ? Bien je te rappelle.

Achille raccrocha puis l'hôtesse lui rendit son passeport.

--Vous avez aimez votre voyage Mr Irakleios?
Achille Lui sourit, quel genre de personne aimait les voyages d'affaires? Sûrement pas lui. Il murmura un merci à l'hôtesse, avant de monter dans sa limousine noir. Héméra lui manquait terriblement, c'est dans ce voyage qu'il s'était rendu compte qu'il n'avait pas le numéro de la puéricultrice. Elle non plus elle n'avait pas ses coordonnés...quand il arriva enfin chez lui, il était content, Il voulait absolument voir sa nièce et Pudiah... La maison était beaucoup plus silencieuse que d'habitude... quand il fût à l'intérieur, les lumières s'allument laissant voir Anthea dans sa belle robe rouge décolleté, et quelques-uns de ses investisseurs, Kevin, et Pudiah qui ne semblait guère ravie, tout comme lui... il mourait d'envie de tenir Anthea par le cou et l'étrangler comme jamais, mais il s'abstient par respect pour les invités,

--Joyeux anniversaire! Crient-ils.

Anthea vient vers lui l'embrassant en pleine bouche comme si elle était sa fiancée.

-- Joyeux anniversaire, mon amour, ton cadeau. Elle lui offrit une petite boîte bleu,

--Tu sais que je fête jamais mon anniversaire... sa phrase fût suspendue quand Vladimir vient à sa rencontre.

--Ta fiancée à fait un succès avec cette fête surprise, ça va vieux?

Sa fiancée? Voilà quelques jours, Anteha se prenait vraiment pour sa fiancée, et lui est ce qu'en restant silencieux il confirmait?

--Je pensais que tu lui avait déjà donné la bague Achille.

Anthea sourit.

--Oh vlad ! Tu sais bien que tant que Achille est près de moi les bijoux m'importe peu!

Achille roula les yeux, comme si c'était vrai, Anthea ne reculait devant rien pour se faire belle et pour se faire remarquer, la voir choisir l'amour au bijoux semble être un rêve qui ne se réalisera jamais. Les heures qui suivirent furent pénible poir lui comme pour les autres, il s'ennuyait à en mourir, quand les derniers invités furent parti il souffla, Anthea s'avança vers lui.

--J'espère que tu t'es bien amuser. La fête était un succès.

--Un succès? 

--Oui, mon chéri, pourquoi? Cela ne t'a pas plû?

--Anthea, je suis fatigué, il vaudrait mieux que tu partes.

Elle écarquilla les yeux.

--Quoi ? Mais tu n'as même pas eu ton deuxième cadeau!

--Garde le ou fait ce que tu veux avec c'est d'accord tout ce que je veux c'est que tu foutes le camp de ma putain de baraque, dans quelle putain de langue veux tu que je m'exprime?!!

Pudiah qui apportait le champagne sous la demande Anthea laissa échapper celui ci, Achille et sa maîtresse se tourna vers elle.

--Tu écoutes au porte maintenant? Lance Anthea furieuse pas contre elle mais contre son amant.

--Je... je ... je ne voulais pas... c'est...

--Idiote... Celui-ci passa en prenant soin de piétiner les verres. Quand elle fût parti, tremblante, Pudiah se baissa pour ramasser les morceaux de verres.

--Je suis désolée Mr Irakleios., je ne ... Ant...

Achille s'abaissa à son niveau en mettant ses mains sur le siennes,

--Calmez vous Pudiah. Laissez ça vous allez vous blessée.

Il l'aida à se relever, alors que celle ci tremblait de plus belle. Jamais elle n'avait vu son patron aussi en colère, le ton avec laquelle il s'était exprimer pouvait faire trembler n'importe qui, elle en fût la première. Achille ordonna à son majordome de nettoyer le sol, puis alla chercher un verre d'eau pour Pudiah.

--Tenez, cela vous aidera à vous calmer. Il lui tendit le verre d'eau ainsi qu'un cachet d'aspirine, elle en avait deux, puis se détendit peu à peu. Achille assit ne face d'elle toujours dans son costume noir, n'avait prononcer aucun mots, il se contentait simplement de regarder la jeune femme assise devant lui, son vermillon recouvrant son front, et ses bracelets, ses bracelets de toute les couleurs avec lesquels elle joueait comme une fille nerveuse.

--Je suis désolé, parce que vous m'aviez vu dans de telles situations.